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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2006-03-11 | |
plein de temps
en tous petits morceaux un moment, deux moments un autre ; pas le bon moment pas le temps des moments quand même choix entrave peur arnaque sibérie îlot antenne chaleur et communication échange vibrations sereines ( ) Un plain pied à terre s’emmêle s’enterre du temps des choix pas de choix pas le choix des peurs des égos des schémas qui (se) [dé]bloquent des spirales incarnées dans un sens vicieux de la chaleur et une échelle une étincelle ou deux Des acteurs qui vomissent leurs charmes et prennent la pose –crispé( )- Un deux trois Soleil ! T’as bougé , t’as perdu tu sors ! un autre roulement de dé écho sur le sol que la lumière reflète éclat mauve ou rouge qui pique l’œil le tambour ( ) éclate, ou s’arrête sur un espace (,) ébloui ou aveuglé ? car la nuit tombe dans la vallée et les cartes prennent l’humidité , figées sur leur ineffable dialogue La brillance résonne encore, bien après la fuite des couleurs refuse de s’éteindre et de devenir clair(e) alors le temps se fait silence et les constats se déforment d’eux-mêmes avec les mouvements du corps , fatigué attaché et at[tiré] comme un retournement de vestes mouillées qui sèchent sur le pas de la pièce sur sa pauvre tranche Voyage sans plaisir dans des couloirs (flétris/filtrés) , déjà visités exhumés des catacombes des sens.. Une chandelle pernicieuse s’enroule et refuse de me laisser perdre le temps le pendre le prendre ? Le passe(r)… le tasser le d/r éduire le diluer , dans une dépendance plus hygiénique ou moins proche comme la névrose ou ses nombreuses petites sœurs qui se cachent dans les placards souvent à double fond des souris casanières Pelure placide attention aux lettres qui se désordonnent ou se donnent des ordres , s’exhortent désordre ? mais non juste bordel en fait mal organisé –pas désordonné au contraire, les cubes flottants se suivent, comme en tr/ch ainés dans les passes d’une danse profonde et mal app/comp rise/réhendée ? Schémas de feuilles qui tremblent et d’escaliers branlants adoucis au clair de quelque chose mais ajustant leurs grimaces et leurs dents fastes et hideuses au moindre pas extérieur, sur le côté pressé mal à l’aise tendu aimé tombé cassé caprice et claque vibra toire/nte énerg(ét)ique Longues complaintes hululantes venant de nulle et de toutes parts à la fois s’infiltrant depuis les intérieurs bruissants des forêts bulancoliques Hameçon de mauvaises profondeurs et de manipulation à la source et au danger mal interprété ou paranoïa de condition eunuque et de tours qui se racinent chimique/industriel à l’ombre du vent qui meurt sur la colline sous une lumière blanche trop blanche trop pur pour être vrai ; artificiellement irréprochable, à part les cauchemars qui coulent en théâtre d’ombres chinoises minoises sur le mur blanc trop blanc pour être quoi ? Serait-ce un mur artificiel ? vibratoire ? plus vrai encore plus haut ou plus froid ou trop fort en fait et frayeur trop de courants qui se changent, s’échangent en trop parfait accord / harmonie des formes immobiles alanguies par le rythme de la respiration qui s’allonge et ralentit rend tout autour plus rapide pas pour autant plus difficile à suivre juste met un peu de matière sur le(s) [re]bord( ) de la réalité, peut-être qui s’effrite toujours un peu -peut pas s’en empêcher désir d’abandon de malheur en otage et faiblesse assassine contre mon sein non moi contre le sien tenue en laisse et le collier brûle mon cou et ça craint Un morceau de moi est bien trop loin pour ça et ce n’est pas à lui de se taire/ s’en aller… alors ? Le problème réside dans le rythme qui soudain semble, enfin, reprendre sa place instinctivement s’emballant ralentit l’intérieur et ouvre les volets de l’œil celui qui reste lui qu’est pas encore crevé Sinus encombrés par le besoin d’expulsion qui se vomit à tout prétexte tousse, crache croise une seconde sa confidente au regard vide, mais plein / plein de vide rempli d’infini au fond et donc d’incertain et de rien La famille à l’ombre de la pupille sur le bord du crâne, celui qui chauffe embrasse, dorlote m’étouffe de protections que je voudrais refuser Recherche d’une source claire de silence intérieur alors, fermez votre gueule
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