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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2019-11-08 | | Inscrit à la bibliotèque par Guy Rancourt Or à jamais tu te reposeras, Ô mon cœur las. L’illusion suprême est morte, Que je crus éternelle. Des rêves les plus chers, Non tant l’espoir que le désir est éteint. Repose-toi toujours. Tu as assez Vibré. Tes mouvements sont vains : La terre n’est pas digne De soupirs. La vie n’est qu’amertume Et que mélancolie. Non, rien d’autre jamais, Le monde n’est que fange. Bouche close désormais. C’est là ton dernier Désespoir. À notre espèce le Destin N’a donné que la mort. Méprise désormais Toi-même, et la Nature, et le méchant pouvoir Qui commande en secret notre commun malheur, Et de tout l’infinie vanité. (Giacomo Leopardi, Canti)
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