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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2013-02-14 | | Inscrit à la bibliotèque par Guy Rancourt
L’arbre de ma vie
se dénude feuille à feuille : ô monde bigarré qui délires tu dégoûtes les cœurs, tu nous rebutes, nous fatigues à force d’ivresse. Ce qui brille aujourd’hui sera vite englouti. Bientôt frémira le vent sur ma tombe brune. Vers le petit enfant la mère s’est penchée. Je veux revoir ses yeux, leur regard est mon étoile ; tout disparaît et s’efface, tout meurt et ne veut que mourir ; seule la Mère est éternelle d’où nous tirons notre origine ; elle écrit notre nom sur les souffles de l’air, d’un doigt subtil, en se jouant. (Hermann Hesse, Le dernier été de Klingsor)
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