Ouverture de l’automne
Dans la rue
La tombe de la mort
Le décès avec son triste faire une empreinte en étoile
Je respire de l’air de demain
Avec cela son l'illusion
En Strasbourg mentenant
Il ne vient pas de neige
Il ne pleut pas
celui expose au soleil rayonne accorde
celui expose au soleil sourit un peu
Et rechercher de la vie
Et je atandre un train de nuit
Que me porte au des l’ombre de mur
De la temp pasible
A la gauche, a la droit
Merci beaucoup de votre compréhension
Avec plaisir,
Parlez vous francais?
Et moi, handicapate de ma longue
Perisable et fragile de mon seule
En c’est pays , avec tristesse
Triste pays de l’ombre de l’ilusion
Il e deja pus tard pour des regrets
Por la lumiere
Pour la bierre, du caffe aut lait
Pour du the avec citrone
Parece que n’ai pas d’argent
Je atandre un train invisible
Une peu malade de melancholie
Que porte de l’image
De ma jeunesse
De ma lettre de l’amour de 17 anns
De me livre
Je crois que j’ai retrouve de la chance
De returne de les temps passé
L’ image de la tandresse
Bessoin de force de pauvre
De l’illusion de la Feance
Pays de me souvenirs d’amour
Ce meurte trop fevrile en moi
Tout alleur est perfect compose
Bessoin de l’amerture des mots
De circumstance, de compréhension
De c’est pays et de image de jour
De ma jeunesse
Celui touche le temps est très large
De la réalité des secondes
L'impulsion des secondes meurt dans l'ennui et les Périodes d'attente entre les trains
Aujourd’hui je suis seule en la gare de Strasbourg
Dans le train, dans le mon vagon
Et je ne peut pas dormir
Rien pour rien de voie que s’agite
Besoin de garre, besoin de mots de adieu
Les tout est tres loin de temps, de amerture
De c’est elegance de la tristesse
Et encore…Strasbourg, je ne peut pas oublie.