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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2022-04-11 | |
J'étais tellement seule. Je ne parlais que le roumain avec Savin, et parfois avec Cecilia, juste une courte salutation, que j'ai alors réalisé n'était en fait que dans leur langue, mais ce qui m'a réconforté, c'est que j'ai vu quelqu'un que je connaissais pourrait m'aider. Parler la langue. Chaque nuit, après avoir dépassé Savin, je prenais la route de l'océan et m'asseyais en grec sur le morceau de sable devant la maison d'Alves, profitant de cet air merveilleux, comme si je prenais la force de continuer.
Savin, bien que l'hiver touche à sa fin, n'a pas beaucoup progressé. Elle ne pouvait marcher qu'une heure et demie en vingt-quatre heures, les médecins étaient contents, mais cela me semblait un peu, mais si je pensais à son rhume, même avant qu'elle ne soit mordue par un requin, elle ne pouvait pas marcher beaucoup, alors elle avait pour récupérer beaucoup plus loin en arrière. Un soir, parce que je ne me souvenais pas de la salle de bain, je me suis installée à Alves, je voulais boire un verre, je ne pouvais toujours pas me le permettre, et les médecins l'ont gardée avec le traitement de Savin pendant longtemps. - Bonsoir, docteur! - Un bien! Que fais-tu Pascal? - Pas aussi bien que vous, docteur. - Pourquoi dis-tu ça, Pascal? - Eh bien, je vous envie, docteur. Vous pouvez voir Yaritza, je ne peux pas. - Pourquoi dites-vous cela sans réfléchir? - Y a-t-il quelque chose que je ne sais pas, M. Alves? - Ne t'embête pas tellement que je ne te donne pas satisfaction, Pascal. - Sens? - Oui, je peux aller à Yaritza, mais contrairement aux autres, je travaille. - Docteur, je suis prêt à 90% pour le projet, mais je suis resté coincé, j'ai fait une pause, mon cerveau volait. - Mettez-les au travail, Pascal. - Tu as raison, je le ressens… - Le projet n'a pas besoin de votre langue, mec! - Savoir. - Quand? - Je ne sais pas… - Ecoute, je travaille aussi sur le projet de ton fils, on a aussi des mauvais jours, mais on n'abandonne pas! - Quelque chose ne va pas avec Savin? - Pas Pascal, je parlais du projet, du papier sur la bactérie en question. - Excusez-moi, je suis parti avec - Je ne sais pas avec quoi tu es parti, mais mets-toi au travail, personne ne te dérange. - Je sais, mais au moins docteur, vous pouvez profiter… - Projet, je suis au sommet du bonheur, je veux faire un vaccin, nous avons beaucoup de fourchette. - Arrêtez… les hommes, les femmes. - Je n'ai pas beaucoup fréquenté les femmes, même si j'ai de quoi les payer, si vous voulez vous battre là -bas, mais - Tu ne peux pas? - Ne pas… - Que s'est-il passé, docteur, vous êtes juste assez jeune? - Rien de juste… - Tu m'aimes, dis-moi, mec! - Oui, tu peux dire ça. - Comment? - Je suis à Paris depuis quelques jours, tu ne m'as pas beaucoup manqué, et tu dis que tu es mon ami. - O! Tondre. - Oui, comme je l'ai dit, j'ai. - Alors tu as conquis Yaritza? - Laisse-moi parler, mec! - Ça vous a rappelé moi, non! - Je ne te dis rien, oui, tu es dans la langue de cette fille, bébé! - Ça ne vaut pas le coup? - Oh oui! Comme je le disais, je suis allé à Paris voir mon fils, j'ai vu ma femme et je l'avoue. - Tu as fait l'amour, maintenant tu es fatigué, à quoi bon me comprendre! - Garder le silence! J'ai aussi visité Yaritza, non! - C'est bon? - Oui, elle est en bonne santé, plus heureuse que jamais, tout aussi belle, c'est tout. - Il t'a refusé!? - Oui. - Je vois pourquoi tu es contrarié. - Tu ne comprends pas, Pascal. - Ne me garde pas en feu, Alves, je deviens fou! - Comment puis-je vous dire, la fille… est étudiante maintenant - Eux et? - Il y a des étudiants là -bas, tu n'as pas l'air moche non plus, mais tu ne peux pas rivaliser avec les jeunes viandes. - Il s'est fait un ami étudiant, ce n'est rien, nous n'avions pas d'amis dans le corps étudiant! - Oh oui! Ce n'est qu'alors que vous étiez bien trop innocent pour vous en soucier, Pascal. - C'est vrai aussi. Ou est-il tombé amoureux? - Il est certain qu'il m'a refusé, je ne sais pas combien de fois, Pascal. - Laisse ça, tu ferais mieux de me parler de cet élève. - Tu vois, si tu y es allée, tu as dépensé l'argent en vain, tu es venu avec le même résultat Pascal. - Est-ce vraiment si mauvais, docteur? - Très sérieusement, la fille reste avec lui dans la chambre, dit-elle pour l'économie. - Eh bien, il ne pouvait pas économiser de l'argent avec une fille. - C'est exactement ce que je lui ai dit! - Oui, c'était différent avec une fille, elle a emprunté des manuels, s'il vous plaît. - Voir, voir! - Peut-être que ce ne sont que des garçons dans son groupe. - Regardez où vous mène la perte, Pascal! - Perte, quelle perte? - Dis-moi que tu lui as parlé d'une manière ou d'une autre! - Oh, je n'ai pas de téléphone. - Pourquoi? - Oh, un problème à la campagne, je voulais jurer sur les anciens patrons même si j'avais un téléphone… - Ha, ha, ha! Tu me fais rire! Non, un autre! - Eh bien, je n'ai pas de téléphone, vous êtes tous à distance de marche d'un, et le second, je n'aurais rien à payer avec le médecin, vous oubliez que vous couvrez ma différence de traitement. - Je plaisantais avec le téléphone, mais il y a aussi Internet. - Oh, parfois je vais travailler comme ça, oui, Yaritza, elle n'a pas de compte, docteur. - Oui, tu as toujours raison. - Dis-moi mieux à quoi ressemble le gars? - Ce qui importe. Il est beaucoup plus jeune que nous, probablement beaucoup mieux au lit. - C'est jusqu'où leur relation est allé. - Oh, eh bien, s'ils s'embrassaient devant moi! - Pourquoi? - Il part, je ne sais pas où. - Aha, donc c'est épais. - Sensationnel! S'il te plaît, Pascal, je viens de te dire que Paris change les gens. - Oui tu m'as dis. - Dites-moi mieux, pourquoi ne travaillez-vous pas sur le projet? - Oh, je ne vous ai pas parlé récemment, maintenant je dois vraiment le finir! - Tu es fou! A Paris, on fait de l'argent sur ce genre de choses. - Je sais, mais il n'y a rien de mal avec moi. - Je comprends. Laissez-le, avec le temps ça ira. - Oui peut-être. Parlez-moi de votre femme, comment c'était? - Oh, je n'ai pas fait l'amour, si ça te grince, j'ai passé plus de temps avec mon fils, il ressemble étrangement à Savin, je pensais vraiment… - Probablement? - Non, je ne pense pas, je ne suis jamais allé en Roumanie. - Je te crois, ça suffit… - Pas à cause de la distance, je n'ai pas rencontré un Pascal, un tel combattant, si vous voulez. - Quoi… tu ne te bats pas - Oh oui! - Que s'est-il passé à Paris? - Oh, ma femme, elle était dans un rhume avec ce vieil homme à l'époque où je suis arrivé. - Très bien, pourquoi n'avez-vous pas récupéré Alves? - C'est ce que j'ai fait, Pascal. - Et? - Il a remarqué la bête, mec! Oui! - Je ne pense pas, pourquoi ne l'as-tu pas emmenée en ville? - C'est ce que j'ai fait, oui, je pouvais le supporter, car c'est de là que venait mon téléphone! - Ah! - Il l'a appelée en une pour lui dire qu'il l'aimait, qu'il ne puisse pas, tu sais! - Je vois, mais pourquoi ne lui dis-tu pas qu'elle est ta femme! - Il ne savait pas, tu es fou! - Oui, vous seul avez un avantage supplémentaire, mon garçon. - J'ai attaqué là aussi, reste calme! Tu sais ce qu'elle m'a dit, qu'elle a déjà le garçon, et je n'ai pas Paris, tu vois! - D'une certaine façon, oui. Peut-être qu'avec cette œuvre de Savin, vous déménagez à Paris, alors peut-être que vous vous rapprocherez. - Crois-moi, je n'atteindrai jamais le boyard, comme tu les appelles, Pascal! - Est-ce qu'il en a autant? - Oui, surtout à Paris. - Alors je ne te vois pas bien. - Vous non plus, Pascal. - Si je pars… je vais faire des ravages, tu verras! - Comment? - C'est juste un pauvre étudiant, un pauvre homme qui n'a nulle part où vivre, pas de place pour l'argent. - Attends une minute, il est étudiant à Paris, mec! - Et? - Pensez qu'il paie pour ses propres cours, le point culminant est qu'ils ne sont pas trop bon marché. - Il n'a pas de parents, pourquoi pleures-tu autant pour lui? - J'ai vu sa voiture… tu ne peux pas vraiment t'offrir une telle voiture, pendant mes jours d'étudiant, même pas à Bucarest. - C'est vraiment si mauvais? - C'est un peu Pascal, d'ailleurs, quand tu restes avec moi dans la chambre, parce que tu es pauvre, je ne t'embrasse pas, je pense à Pascal ou à Alves, c'est parti! - J'aime bien, vous l'avez remarqué rapidement, docteur! - Eh bien, seulement toi pour être le grand-père… que je viens à toi! - Calme-toi, tu ferais mieux de verser quelque chose dans ce verre pour moi. - J'avoue, tu m'as bien fait, si je n'avais pas eu cette conversation avec toi, je ne me souviendrais pas à quel stade je suis. - Docteur, ne vous sous-estimez pas, mec! - Je le fais, car peu importe combien j'aime cette redoute, je ne peux pas la conquérir. - Vous feriez mieux de combattre l'autre forteresse, docteur." - L'autre, tôt ou tard, rentrera chez elle, j'espère être prête avec tous mes projets au travail, n'avoir d'yeux que pour elle. - Bonne chance! Comme c'est beau, mais surtout, comme vous les voyez optimiste, docteur. - Ce n'est pas comme ça! Voici un exemple pour vous, pour canaliser vos efforts là où vous en avez besoin. - Touche! Docteur, vous m'avez touché. - Et toi, comme disent les Français. - Ha, ha, ha! Nous avons ri au contenu de notre cœur. Je n'arrêtais pas de dire à Alves que j'étais prêt à aller à Paris, s'il était honnête, mais je ne pouvais pas lui faire cette blague maintenant. Au milieu de la nuit, sous la vapeur de l'alcool, je suis allé dans la petite baie, sous la maison d'Alves, plonger dans l'eau qui m'a fait frissonner, avec le temps je m'y suis habitué, nageant dans l'eau noire. Vers minuit, j'étais crue de tant d'eau, alors j'ai décidé de rentrer chez moi, en tirant directement vers le frigo, mais en vain, parce que je n'avais rien à boire ni à manger, je me contentais de la nourriture de l'hôpital, mais aussi avec les bonbons, qu'une très belle grand-mère de la cuisine faisait pour moi, connaissant ma situation, j'ai donc décidé d'aller dans la chambre, car je n'avais pas servi les carreaux depuis longtemps. Au lit, je me débattais avec le froid en moi, me pelotonnant sous la couette épaisse. Il était presque trois heures du matin, peut-être même plus longtemps, quand j'entendis frapper à la porte, je me levai encore froid, je ne m'étais même pas endormi. - Docteur, si vous avez oublié de m'apporter une bouteille de force, de savoir que j'ai très froid, vous avez fait très mal. Dis-je en me dirigeant vers la porte. J'ai ouvert la porte, mais surprise, Cecilia était sur le pas de la porte. - Bonsoir Pascal! - Salut! Voici! Une! Excusez-moi! - Tu balbuties tellement, moi! C'est moi, Cecilia! - J'ai vu… - Qu'as-tu vu? - Oh, je vois que tu as une bouteille sous l'aisselle, je meurs de froid, Cecilia. - Oui, la bouteille est… Pascal, l'homme ne l'est pas. - J'ai remarqué, tu veux entrer ou tu aimes me voir trembler! - Tu sais pourquoi j'ai la bouteille? - Ne pas. - Parce que je t'ai suivi prendre un bain. - Avec la bouteille dans tes bras? - Non, après ça je l'ai acheté, j'ai réalisé que tu en aurais besoin, mais surtout que tu peux te permettre de boire, demain tu es libre. - Tu vas? - Laisse-moi le faire, je te vois tellement excitée! - Tu plaisantes bien! - Oui. - Écoutez, c'est actuel, veuillez vous asseoir… - Soyez patient, vous pensez qu'il est si facile de gagner un verre de force! - Je ne sais pas. - D'accord, ferme la porte, parce que tu as commencé à clouer. - Asseyez-vous, Cecilia! Je ne cherche plus de lunettes! - Allez, fais attention! - Dis-moi ce qui ne va pas avec toi à cette heure? - Non, rien! - Avec une bouteille fine, rien! - Oui. - Cecilia, quoi Vous a-t-il tant bouleversé, ou avez-vous rêvé de votre mari, et vous ne l'avez pas fait cette fois non plus? - Pire! - Comment? Je comprends que vous avez retiré ce certificat, maintenant vous êtes libre. - Oui, je l'ai retiré! - Pourquoi l'appelles-tu si sombre? - Comment veux-tu? - Je ne sais pas. Écoutez, je vous servirais quelque chose, mais je n'en ai pas. - Je sais, je voulais coucher avec toi, c'est peut-être comme ça que je me suis reposé. - O! Le Père Noël est tellement actif! - Plus actif que vous ne le pensez, il va à l'hôpital tous les soirs, puis il vient m'embrasser le matin, et si je travaille, nous allons travailler ensemble. - Toutes les nuits? - Oui. - Peut-être que non… - Non, je ne pouvais pas lui faire de mal non plus, je ne sais pas ce qui ne va pas chez moi, je suis démoli. - Penses-tu que tu peux le faire avec moi pour me sortir du stress? - Je ne sais pas. Je pense… - Pourquoi n'avez-vous pas vu de médecin, peut-être en avez-vous besoin? - Eh bien, il n'est pas vieux, eh bien, il n'est pas si vieux, docteur! - Pour donner! - C'est Pascal, docteur! - Oh je comprends! - Je prie. - Eh bien, pourquoi ne l'as-tu pas fait te voir, Cecilia? - Laisse ça, ils me verront si besoin. - Bien. Qu'est-ce que tu veux de moi? - A part le fait que tu m'as bu… - Je viens de goûter un peu, sinon je l'ai réchauffée entre les jambes, Cecilia. - Eh bien, voici mon problème, je ne me suis pas échauffé entre mes jambes depuis longtemps. - Peut-être que tu n'en as pas eu l'opportunité, si tu veux, on peut faire une petite école, c'est pour être satisfait et papa! - Oui, c'est ton souci maintenant, d'avoir des relations sexuelles, après avoir bu autant, je ne pense pas que tu puisses faire autre chose que dormir. - J'ai oublié ta bouteille, elle est presque pleine, Cecilia. - Faites-moi savoir d'où vous venez! - Comme Cecilia, tu me suis, c'est si difficile de dire bonsoir, on discute et on passe à autre chose. - Non, je ne veux pas de sexe et c'est tout! - Je comprends, mais - Je dois finir, je suis une femme mariée, Pascal. - Oui. - C'est tout, oui! - Que puis-je vous dire d'autre, allons nous coucher, Cecilia. - Dormons, tu veux dire. - Oui. - Ils ne! Tu me ruines la tête Pascal, je ne te comprends plus, je ne sais pas ce qui ne va pas avec toi! - Moi non plus avec toi. - Si tu dis oui, je te bats! - Je crois que tu peux! Écoutez, parlez-moi du Père Noël. - Père Noël, ne l'appelle pas comme ça! Le docteur est un homme merveilleux, sa femme est morte dans un accident, je l'emmènerais quand même, les filles s'entendent très bien, ce qui le fait probablement m'accepter à côté de lui. - Avec son argent, il peut se permettre… - Tu ne vas pas me dire que je suis leur nounou, ces gens riches sont avares! - C'est comme ça que tu te sens? - Ne pas! - Alors tu n'es pas une nounou. - Tu es insupportable! - Alors va te coucher, dormons, tu n'as pas dit que tu n'avais pas dormi depuis longtemps. - Je ne peux pas dormir maintenant, Pascal! - Oui, tu te souviens du sexe! - Ouais, j'essaierais probablement quelque chose avec toi, mais pas ici chez Alves, non… - Oui, qu'avez-vous tous avec la maison de l'homme? - Oh, oh! Vous avez apporté l'assiette ici, non! - Non, je suis allée vers elle. - Mensonge, mensonge, mensonge! - Laisse-moi tranquille, tu ferais mieux de me dire, si on descend dans la baie, sur le sable, es-tu prêt à attaquer? - Je voulais te dire quelque chose, je sais presque que tu ne l'as pas manqué, alors attends jusqu'aux vacances d'été, Pascal. - Je te ferais presque lâcher prise, mais si tu ne veux pas, vas-y seul. - Voilà ce que je vais faire. Laisse ça, on le fera si tu le veux, pour que notre sexe sorte de ta tête, tu es heureux! - Quand? - Eh bien, maintenant nous devons parler, Pascal. - Je pense que nous devrions parler sur le chemin de la plage. - Tu t'es réchauffé! Tu souhaites! - Je voulais te libérer du stress, Cecilia. - Au contraire, j'ai l'impression que tu veux te libérer du stress, Pascal. - Je prie! Je t'écoute, Cecilia, comment va Veronica? - Elle va à l'école avec la fille du médecin toute la journée, elle a une amitié, elle est beaucoup plus stable que moi. - Je l'ai vu il y a longtemps. - Oui. - Êtes-vous toujours à l'hôpital pendant l'été? - Je ne sais pas, dans l'ensemble, c'est beaucoup plus rentable, je suis habitué aux patients, mais je ne semble pas le faire trop longtemps. - Je n'ai rien à faire, mais savoir que j'aime ça, j'y vais vraiment avec plaisir, j'écoute parfois leurs histoires, quand j'ai le temps, certaines vies ont été vraiment excitantes. - Comme le tien. - Vraiment dramatique, je dirais. - Eh bien, vous voyez, nous nous ressemblons à cet égard, je pense que c'est ce qui nous fait avancer. - Peu importe pour nous, vous avez été le premier à quitter le pont. - Après avoir marché jusqu'à la villa du propriétaire, j'ai réalisé que vous avez besoin de liberté, car j'ai beaucoup de problèmes à résoudre. - Allez en Roumanie et résolvez vos problèmes, pour être libre. - Je dois le faire, Pascal. - Oui, tu le dois à Veronica, la fille aura besoin d'un homme à la maison, elle grandit très vite, maintenant elle a besoin d'aide. - Je vais le lui donner, je l'aiderai autant que possible! - Tu as vu que je me souciais de quelques problèmes quand on était ensemble, ce n'est pas facile. - Je sais, arrête, je ne te donne rien, peu importe à quel point tu es faim femme! - Regarde! Tu l'as mis dans les tulipes, on était vraiment sérieux, entre nous deux, c'est toi… comme tu l'as dit… - Peut être. - Tu ne m'as toujours pas dit pourquoi tu es venu ici ce soir? - Parce qu'il est revenu vers moi, après si longtemps, comme si c'était réel, j'ai eu des relations sexuelles folles… - Je pense que je connais le résultat, pourquoi n'es-tu pas allé jusqu'au bout? - Je ne sais pas. Votre femme est-elle déjà venue? - Non, probablement parce que… - Il a vu que je ne vous menaçais de rien. - Oui peut-être… - Qu'en est-il de toi, Pascal? - Yaritza me manque, je ne suis pas resté en contact depuis qu'elle est partie, me dit Alves, qu'il a quelqu'un à Paris. - Attendez les vacances, cette eau chaude de l'océan vous unira, elle vous a réunis. - Tu as raison. Vais-je te ramener à la maison? - Tu ne veux plus de sexe? - Il fait jour, Cecilia! - Alors je pars seul. - En fait, tu es venu seul. - Non, j'ai toujours été derrière toi, mais je n'ai pas osé - Aviez-vous peur? - Oui je l'avoue. Je pense que si j'allais dans l'eau à côté de toi, tu m'aurais. - Je ne crois pas. - Oui Pascal, à ce moment-là , je me sentais comme ça, je voulais changer l'état dont je recevais… - Écoute, le sommeil n'est pas réel, Cecilia. - Ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai vraiment compris. - Nous en avons assez de notre douleur, Cecilia. - Oui, je comprends enfin que je suis malade, mais je veux tout légaliser, puis je verrai. - Très bien. - Seulement ça! - Non, où as-tu eu la bouteille? Ne me direz-vous pas que vous l'avez tenue entre mes jambes quand j'ai pris un bain? - Ha, ha, ha! Non, j'avoue que je l'ai ennuyé à un moment donné, que tu n'étais plus hors de l'eau, du pub, j'ai dit au propriétaire que je voulais faire la paix avec toi, puis il m'a donné la bouteille en disant Je vais endormir tes sens avec elle. - Alors c'est du moka? - Oui. - Ha, ha, ha! Que dira-t-il quand il découvrira que vous n'avez rien fait? - Rien non! - Ha, ha, ha! - Pascal, je pars. - La bouteille, tu en veux? C'est presque plein. - As-tu oublié que mon ami est riche, il a un énorme bar? - Invitez vos amis, ma chère. - Je n'ai pas pu avoir cette conversation constructive chez le Père Noël. - C'était constructif? - J'avoue, oui. - Alors ... - Alors je pars! J'ai l'impression que si je reste, je vais sauter sur toi et tu ne vas pas bien. - Ouais, le problème est comment ça va être pour toi? - Au revoir, Pascal! - Pa, Cecilia! |
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