À une surface tant que seulement deux ou trois districts roumains, Israël offre aux touristes quelques curiosités géographiques uniques, parmi lesquelles notoire est la mer Morte, parc’que elle a le plus bas niveau par rapport à l’océan planétaire: moins 411 mètres.
De presque un heure on roulait sur la route nationale 90, en ayant à droite la terre manquant de végétation du désert de Judée et à gauche la lisse "non gratignée" par les mouettes de l’eau de la mer Morte. On s’approchait de la Sodome et, par l’effet de halo, je regardait un paysage comme de post-cataclysme biblique (Genèse 19: 24): "Alors l'Éternel fit pleuvoir du ciel sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu." Mais, surprise! Une oisis de verdure. De bâtiments de station balnéo-climatique se profilaient à l’horizon. Le guide a pris le microphone du bord de l’autocar: "On va faire un arrêt de trois heures à Ein Bokek. En général, la station est caracterisée par les conditions météorologique suivantes: temperatures du mois de Juillet, pression atmosphérique élevée, prècipitations très rare, rayons ultraviolets intenses, atmosphère sèche, dépourvue de pollen, mais riche en bromures. L’exposition prolongée au soleil n’est pas indiquée." Il est recommandé l’onction de la peau avec de la boue minérale, tant pour la protection antisolaire, que pour le traitement de rhumatisme, de l’arthrite et de certaines maladies de la peau. Il n’existe pas le risque de noyade, parce que la salinité de l’eau est très élevée et la force de la loi d’Archimède est très intense. En change, il est à éviter que l’eau entre dans les yeux ou dans le nez, car se produisent de brûlures intolérables. De même, une attention accrue est nécessaire aux scorpions, araignées, serpents et autres petites et très affamées bêtes, qui se cachent dans le sable, sous les rochers ou dans les buissons; leur venin peut provoquer l’allergie ou même la morte."
…L’autocar s’est arrêté à un parking près de la plage. Tous ceux de notre groupe sont entrés dans les vestiaires situé à quelques mètres de distance et sont sortis couverts avec de vêtement plus ou moins approprié pour le bain, chacun avec ce qu’il a pris dans les bagages préparés à la maison, avant du départ. On marchait en sautant, tellement le sable était chaud. La plage était dépourvu de déchets ménagers, mais par ici et par là se distinguaient petites taches de boue minérale, noire comme le goudron, tombé lors des manœuvres du traitement pélothérapeutique. La grande partie de ceux de la plage se sont abrités sous de parasols. Après un parcours d’environ 20 mètres, on a atteint l’eau. Les vagues n’existait pas dans les conditions d’un vent trop faible pour élever un tant soit peu l’eau lourde de tant de sels minéraux.
…Entrer dans la mer Morte est une expérience différante, autre que, par example, dans la mer Noire. Premièrement, on a la sensation d'immersion dans l'huile, tellement est élevée la valeur de la tension superficielle. La deuxième différance est le fait que, en commençant même du rivage, on marche sur de grumeaux aproximativement sphériques de sel, de la grandeur des noix, qui ne sont pas senties tout à fait agréables sous la plante du pied. Qui désire se maintenir en position verticale constate que c’est presque impossible, parce qu’il est immédiatement tiré en haut de l’eau jusqu’ à la taille, ce qui fait qu’il perde rapidement l’équilibre et se renverse comme une quille. De même, l’amateur de nage dans les style libre ou brasse se rend compte qu’il risque d’arriver immédiatement avec le nez ou avec les yeux dans l’eau à cause du rapport entre les valeurs de la force d’Archimède et celles du poids des differantes parties du corps. Pour cela, la meilleure position, adoptée par ceux plongés dans la mer Morte était la soi-disant "assis dans le fauteuil", avec les jambes pliées et un peu écartées pour mieux maintenir l’équilibre.
…Pour près de deux heures, je flottai dans la positon "assis dans le fauteuil". Éxposés au soleil étaient seulement les genoux et le corps à partir des épaules vers le haut. De temps en temps, j'ai arrosé les cheveux avec de l'eau pour réduire le risque de l'insolation. Si j'aurais eu un livre, j'aurais pu le lire sans le risque de le mouiller. Je regardais vers le rivage et j’admirais la suite d’hôtels de quatre et cinq étoiles, qui offraient des services de traitement de diverses maladies. Un professeur universitaire d'économie, du groupe, qui flottait à côté de moi, m'a dit:
- Sur le rivage israélien de la mer Morte ont été faits des investissements dans le tourisme d'environ un milliard de dollars américains.
- Et sur la côte jordanienne, plus au nord, j'ai vu de nouvelles constructions.
- En effet, et là-bas existe un projet d'investissements dans le tourisme d'environ une centaine de millions de dollars pour construire d’hôtels de quatre et cinq étoiles.
-Les touristes qui viennent ici sont riches, de ceux qui, comme on dit en une expression roumaine, "nagent dans le miel." Pas comme nous, ceux de l'enseignement...
- Mais nous ne nageons pas dans le sel? Le sel n'a pas une grande valeur? On dit - "comme le sel dans les plats", a essayé une consolation mon collègue de profession.