Les beaux revenants

Parcourant leurs rêves
Comme des papillons
Exécutant leur parade céleste
Harmonieusement,
Les ombres blanches
Se dissipent dans le brouillard épais
Des nuages déjà tristes
Dans l’attente des jours sans pluie
Où l’arc-en-ciel surgit quand le ciel bleuit
Où le printemps matinal se lève.

Chaque image revient,
A la lumière elle luit
Le temps ravi dans ses pensées enfouies
Elle jaillit, lui sourit, ensemble ils s’écrient
Les cris de leurs cœurs épris et éperdument aveugles
Au mystère de l’amour se découvrent.