Page: 1
Attendre que la Nuit...
: Les amis inconnus Poèmes 2004-11-15 (17842 affiches)
Coeur
: Le forçat innocent Poèmes 2004-12-20 (14895 affiches)
Descente de Géants
: Poèmes 2004-11-15 (17318 affiches)
Encore frissonnant...
: La fable du monde Poèmes 2004-11-15 (14734 affiches)
Je cherche autour de moi plus d’ombre et de douceur
: Le forçat innocent Poèmes 2004-12-20 (12210 affiches)
Les amis inconnus
: Les amis inconnus Poèmes 2004-11-13 (20328 affiches)
Les chevaux du Temps
: Les amis inconnus Poèmes 2004-11-14 (19536 affiches)
Les yeux
: Poèmes 2010-11-01 (11466 affiches)
Livrez vos mains aux miennes...
: Le forçat innocent Poèmes 2004-12-20 (10373 affiches)
L'allée
: Les amis inconnus Poèmes 2004-11-14 (29759 affiches)
L'Arbre
: Les amis inconnus Poèmes 2004-11-15 (17574 affiches)
L’âme
: Poèmes 2010-11-01 (10453 affiches)
Ne tourne pas la tête...
: Le forçat innocent Poèmes 2004-12-20 (11415 affiches)
Nocturne en plein jour
: La fable du monde Poèmes 2004-11-15 (16097 affiches)
Prière à l'inconnu
: Jules Supervielle Poèmes 2004-04-10 (16937 affiches)
Singurătate
: traducere de Cristina-Monica Moldoveanu Poèmes 2010-06-21 (11672 affiches)
Solitude
: Poèmes 2010-06-21 (11341 affiches)
Supplique
: Le forçat innocent Poèmes 2005-01-17 (12027 affiches)
Un poète
: Les amis inconnus Poèmes 2004-11-15 (16711 affiches)
Vivante ou morte ...
: Le forçat innocent Poèmes 2005-01-17 (10217 affiches)
Vivre encore
: Jules Supervielle Poèmes 2004-04-10 (29649 affiches)
Whisper in Agony
: Le forçat innocent Poèmes 2005-01-17 (11583 affiches)
Page: 1 |
|
|
|
|
Biographie Jules Supervielle
Jules Supervielle (1884-1960)
Poète, romancier et dramaturge français, auteur d\'une poésie très personnelle, hantée par l\'angoisse de l\'absence et le sens du mystère.
Né à Montevideo, en Uruguay, issu d\'une famille de grande bourgeoisie, orphelin huit mois après sa naissance, il fut élevé par son oncle et sa tante, et partagea sa vie entre la France et l\'Amérique du Sud. Il se maria en 1904, et fut père de six enfants. Tandis que ses premiers poèmes sont d\'une facture assez traditionnelle (Brumes du passé, 1900 ; Comme des voiliers, 1910), la fréquentation de Jules Laforgue le poussa à cultiver l\'humour (Poèmes de l\'humour triste, 1919). Il se libéra de toute influence à partir de Débarcadères (1922), le premier de ses recueils en vers libres, où se retrouve toutefois le goût pour les voyages qu\'il partageait avec Valéry Larbaud.
Après un roman fantastique (L\'Homme de la pampa, 1923), Supervielle explora, dans sa poésie, le fond le plus obscur de sa personnalité (Gravitations ; Le Voleur d\'enfants ; Le Forçat innocent ; Les Amis inconnus ; La Fable du monde). Il publia aussi des récits (L\'Enfant de la haute mer ; Boire à la source), écrivit pour le théâtre (La Belle au bois). La maladie le retint en Uruguay pendant la guerre, qui lui inspira des poèmes âpres et mystiques (1939-1945 ; La nuit). Sa poésie devint ensuite plus facile d\'accès et s\'inspira de contes mythologiques (Robinson ; Shéhérazade).
Il obtint le prix des Critiques en 1949, pour Oublieuse mémoire, et celui de l\'Académie française, pour l\'ensemble de son œuvre, en 1955. Après quelques recueils moins inventifs, il trouva des accents nouveaux dans le Corps tragique (1959), sorte de méditation sur la mort. Dans ses poèmes, la rêverie personnelle atteint souvent une dimension cosmique,
« Supervielle, Jules », Encyclopédie Microsoft® Encarta® 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
|