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33e session de la Conférence générale de l’UNESCO.
article [ Société ]
La communication et l’information à l’ordre du jour de la Conférence générale de l’UNESCO

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par [NMP ]

2005-10-11  |     | 



Photo :
Musa Bin Jaafar Bin HASSAN, Président de la Conférence Générale
3 Octobre, Siège de l'UNESCO, Paris, France
Auteur-© UNESCO/Niamh Burke


Les États membres de l’UNESCO débattront dès demain des futures activités de l’organisation dans le domaine de la communication et de l’information, et plus particulièrement de sa contribution au sommet mondial sur la société de l’information.
Les débats auront lieu du 11 au 13 octobre, au siège de l’UNESCO, à Paris, sous la présidence du Tanzanien Mohammed S. Sheya. Ils feront partie intégrante des travaux de la 33e session de la Conférence générale de l’UNESCO.


Le programme et le budget des activités à mener dans le domaine de la communication et de l’information dans les deux années à venir seront à l’ordre du jour. Les lignes directrices proposées par le Directeur général de l’UNESCO accordent la priorité à l’habilitation des citoyens par l’accès à l’information et au savoir, et plus particulièrement à la liberté d’expression.

Les États membres s’attelleront également à la préparation de la stratégie de communication et d’information de l’UNESCO pour la période allant de 2008 à 2013, autrement dit sa « stratégie à moyen terme ».

Parmi les autres points à l’ordre du jour, citons la participation de l’UNESCO au processus amorcé par le sommet mondial sur la société de l’information, la question des médias et de la bonne gouvernance ou encore la protection du patrimoine audiovisuel.

La 33e session de la conférence générale de l’UNESCO, une manifestation de trois semaines qui réunit les représentants de tous les États membres tous les deux ans, a débuté le 1er octobre 2005. Présidée par Oman’s Musa Bin Jaafar Bin Hassan, elle rassemble plus de 3 000 délégués au siège de l’UNESCO, à Paris, pour débattre des stratégies, des activités et du budget de l’organisation dans les domaines de l’éducation, de la science, de la culture, de la communication et de l’information.

© UNESCO.

***

Les chefs d’Etats de la Bosnie-Herzégovine et du Tadjikistan défendent le dialogue et la diversité culturelle devant la Conférence générale de l’UNESCO.

Ivo Miro Jović, Président de la présidence collégiale de Bosnie-Herzégovine, et Emomali Rakhmonov, Président du Tadjikistan, qui ont pris aujourd’hui la parole devant la Conférence générale de l’UNESCO, ont insisté sur l’importance de la sauvegarde de la diversité culturelle, du dialogue interculturel et inter-religieux, et de l’éducation des générations futures.


Dans son discours, le Président de la présidence collégiale de Bosnie-Herzégovine, Ivo Miro Jović, a mis l’accent sur la nécessité de préserver la diversité culturelle. « La négation de l’identité mène à la violence » a-t-il dit, avant d’ajouter : « En défendant la diversité des cultures et des identités, nous dressons les défenses des valeurs universelles. En permettant à tous les peuples d’utiliser leurs langues dans les médias et l’éducation des enfants – les futurs piliers d’une société que l’on veut saine – […] nous reconnaissons aux individus et aux peuples le droit à leur propre identité et nous construisons les fondations d’une société plus humaine. C’est à une telle société qu’aspire mon pays qui marche avec détermination vers l’Union européenne […] »

Insistant sur la nécessité d’une meilleure connaissance réciproque des différentes cultures pour la préservation de la mémoire historique et du patrimoine de son pays, le Président Jović a déclaré : « Mon pays a connu une guerre au cours de laquelle les différentes cultures, par manque de connaissance mutuelle, se sont opposées les unes aux autres ». Il a conclu : « La négation de l’histoire et de la culture n’a fait que renforcer le conflit ».

Se félicitant de l’aide apportée par l’UNESCO pour établir un dialogue régional, grâce aux forums sur le dialogue entre les civilisations qui ont régulièrement réuni, depuis 2003, les chefs des Etats concernés, le Président Jović a aussi souligné le rôle pionnier de l’Organisation dans le rétablissement de la paix en Bosnie-Herzégovine : « La reconstruction du Vieux pont de Mostar a marqué le début du retour à la confiance mutuelle dans cette ville multiethnique qui, après avoir été la plus belle ville du pays, était devenue un lieu d’attraction des reporters de guerre ». « Les peuples de la Bosnie-Herzégovine, les Croates, les Serbes et les Bosniaques, sont aujourd’hui de nouveau fiers de leur Pont », a-t-il déclaré, se félicitant de l’inscription récente du Quartier du Vieux pont de la vieille ville de Mostar sur la Liste du patrimoine mondial.

Le Président du Tadjikistan, Emomali Rakhmonov, a également axé son discours sur le rôle du dialogue interculturel et inter-religieux. « Chaque culture a le droit d’être sauvegardée », a-t-il dit, précisant que « nous devons œuvrer à la préservation de la diversité culturelle pour faire face à la mondialisation ».

Evoquant le contexte international actuel, il a déclaré : « il est impératif de développer la coopération entre les savants, les écrivains, les artistes et tous les acteurs de notre société planétaire, afin de renforcer le dialogue entre les civilisations et parer ainsi aux menaces de conflits. » Il a poursuivi en mettant en avant le rôle de l’éducation, à l’échelle nationale et internationale, dans un monde menacé par le terrorisme et le fanatisme.

Après avoir souligné que les religions représentent toutes des composantes très importantes de la culture spirituelle du monde, Emomali Rakhmonov a déclaré : « Je suis profondément convaincu que nous n’avons absolument pas le droit de lier l’extrémisme, le terrorisme et le radicalisme à une religion, quelle qu’elle soit, y compris l’Islam. Ces phénomènes regrettables sont diamétralement opposés à l’esprit et à l’enseignement hautement humaniste de toutes les religions, dont l’Islam. Nous nous opposons par principe à l’utilisation des termes tels que terrorisme islamique ou extrémisme islamique ».

© UNESCO.

Site de l'Unesco : Unesco.org

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