Ce retour à soie qui emprisonne délicatement son coloré papillon qui lui, se croyant être triton,
dévore des yeux ce béton dure et gris, mais que par chance, le ciel quand même l'éblouit.

Sur les tables rases, les jeux sont faits, et moi, un peu défais, comme l'automne,
je perds mes feuilles dont je ne connais même pas le nom.

la joie est peut-être l'oubli des obligations.

Pour suivre son cours, l'eau-delà et ses ruisseaux sont trop nombreux.
Les professeurs et leurs matières me tournent le dos. Qu'ai-je donc fais?

Le démon au cul, je lui chie dessus! Mais il aime ça, le bâtard!
Il sait qu'avec cette singulière amitié, il réussit à créer exactement ce qu'il désir, ce qu'inconsciemment je désir.
Cette fameuse confusions, l'explication de ma maladresse et ma paresse, prisonnière de mes viscères atrophiés
par trop d'amertume et de solitude. Du miens et du tiens, je perds mon temps à tenter de déjouer les plans de mes ennemies dont j'ai moi-même écrit le récit.

Jamais je n'ai vécu autant de mort rapprochés
Jamais je n'ai vécu autant de rapprochement de mon être incarné.
Je reviens de loin, mais d'où, je n'en sais rien
Pourtant le dessin semble se frayer un chemin et je suis effrayer par ce destin.

La peau sur les lèvres, la fièvre consume tout les déchets
Quels médicaments pour nous, amants de la nature et de ces luxures
Scintillant diamant qui brille à travers les paupières des femmes aimées
Que l'amour est compliqué quant il tente d'être analysé

Je suis comme le gland d'une fleurs dans des mains de pétales caressant le fruit de mes pensées, qui ailles, s'ouvrant à l'infini, aux vérités que je ne veux plus jamais à avoir à affronter.

Que la nuit nous apporte réconfort et ravitaillement.