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■ L'hiver
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2009-05-11 | | Fou de toi Conscient, je comprends Que tous engagés maintenant Dans l’une des plus grandes traversée De l’histoire de notre humanité Au diable, l’idée de vouloir tout contrôler, tout diriger Au lieu, réapprendre à apprendre, afin de maîtriser non pas la vie, mais sa magie Que par nos intuitions, visions et passions Redessiner ce qui bâtis notre séparation Et que devant ces mots et paragraphes incertains Recréer le plus beau des mondes à partir de petits riens Car par la création de nouveaux liens, nous ouvrions d'importants chemins Vers la terre, vers la mer, enfin sauter, ce noyer, survivre, nager et naviguer À travers ces vaste océans, ces capricieux et tendres moments, que sont devenus nos instants présents, Et delà , écouter… Ce que tente de nous siffler le vent Caressant le naufrage de nos bavardages Pour qu'ainsi comprendre les lois de notre esclavage Car avant le grand déluge, saisir les fondations de nos réels refuges Et que notre salut, osez diriger notre courage vers ce qui doit être vaincu. Virevolté par cet étrange tourbillon, cette infinie sens de la perfection Constamment jugé à travers la plus petites de nos actions Puisse l’expérience, la musique, la danse et les amis Être-là pour apporter un répit à tout ceci. Car force est de remarquer… Qu’il est parfois difficile d’apprendre à nager En ces mers agitées par des apprentis sorciers Qui malgré parfois un incompréhensible dessin Nous indique la voie de notre destin (le tout déjà écrit sur le plus fin des parchemins) Mais quelle galère tout de même que d’avoir à constater l’étrangeté de ma destinés Alors qu`avant un si beau voilier me siégeant de navire Que par gourmandise, paresse et indiscipline J'ai violemment choisi de détruire en croyant innocemment Que j'aurais le temps et le courage de construire ce qui ma défini et fait souffrir Mais voyez-vous, les plans ont changé, et j'ai perdu les papiers Alors dites-moi, jusqu’où devrons-nous aller pour comprendre ces étranges façons de bouger À travers ces rythmes effrénés qui nous pousse à accélérer Des activités non maîtrisées, des idées qui seraient intelligent de mettre de côté, et ainsi Parfaire ce qui réellement peut nous satisfaire au niveau planétaire Afin de créer au travers de ces remous, un espèce de pont vers le ’’on’’ vers le nous La situation quoi que parfaite est critique, car trop fragmentée Elle rend compliquée l'adhésion à nos expectations Car trop concentré sur la façon, elle congestionne nos émotions Pesant ainsi sur mon humanité, que nous perdrons Si nous ne retrouvons pas la sagesse de nous en libérer. L’unification et la coopération sont notoires et obligatoires Recréer ces facultés, et ensemble, décider ce qui doit décéder Pour qu’enfin partager le qui nous sommes dans la somme Parce que vivre le je suis, n’est en fait que l’exploration des limites d’un pays Que de vouloir à tout pris démontrer notre brillance indispose à la présence Et que s’envoler seul vers la perfection n’est plus notre mission Car si on peut s’élever, que ce soit par la communion des nations et celle du son Et moi qui croyais être celui essentiel à la vie Prête à prendre son envol, être celui pour qui on s’affole Jusqu’au jour ou j’ouvris les yeux et découvris autour de moi Que tous étaient des dieux. Alors maintenant, séparé entre le fait d'être heureux et valeureux ou peureux et envieux, je vis cette nouvelle réalité du mieux que je peux En comprenant consciemment et intensément, que mon futur Ne saura jamais, plus satisfaisant que mon présent Un présent à déballer doucement. Avec le seul tranquillisant que de devenir aimant À qui veux bien évoluer. Juste de respirer, partager, jouer, écouter et apprécier Et pour certains, apprendre à courir lentement et tendrement vers le courage de guérir Même si pour ce faire, traverser les déserts de chimères et aller visiter cette immense colère Ces adversaires parfois implantés en nos artères Pour réapprendre et actualiser notre savoir faire Non pas pour conquérir, mais pour servir L’humanité, notre maternité. Et puis, je profite de cet air pour la changer en prière Car de mes souhaits les inventés pour pouvoir les partager J'aimerais tellement apprendre à mieux m’amuser avec la vie et mes amis Apprendre à mieux étudier, à mieux méditer, à mieux réfléchir, à mieux m’enrichir À savoir proposer sans diriger, à savoir gérer le temps et les éléments Réapprendre à faire l’amour avec tous mes sentiments, être complément, compétant Devenir graduellement un entrepreneur, un guérisseur, un peintre, un musicien, un magicien Le tout en restant conscient et connecter avec l’humilité d’être petit et apprenti Parfois au détriment du confort que j’adore Et de la paresse qui parfois colle au fesse Alors que le silence soit d’or et que le mouvement soit d’argent Que toutes les couleurs de l'arc-en-ciel naissent de partout et en nous Et que si on doit exploser que ce soit dans la gaieté L’idée est de s’unifier et de tout recommencer Pourrait-on croire que la faciliter de créer cette réalité Résiderait dans le seul fait de choisir, d’exister et de s’aimer Alors, rire pour ne pas souffrir, danser pour s’harmoniser, chanter pour être libéré Prêt à consacrer ma vie pour cette cause qui unit Travailler sans relâche pour l’amour de ce fruit qu’est notre commune survie Mais le seul problème en ce tout, C’est que sans toi, je m‘en fou. |
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