agonia francais v3 |
Agonia.Net | Règles | Mission | Contact | Inscris-toi | ||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
||
![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() | |||||
Article Communautés Concours Essai Multimédia Personnelles Poèmes Presse Prose _QUOTE Scénario Spécial | ||||||
![]() |
|
|||||
![]() |
agonia ![]()
■ Le roi ![]()
Romanian Spell-Checker ![]() Contact |
- - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2004-03-25 | | Inscrit à la bibliotèque par Alin Codoban
Elle etait déchaussée, elle etait décoiffée
Assise, les pieds nus , parmi les joues penchants ; Moi qui passais par là , je crus voir une fée, Et je lui dis:Veux-tu t’en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons , Et je lui dis: Veux-tu, c’est le mois où l’on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l’herbe de la rive: Elle me regarda pour la seconde fois, Et la belle folâtre alors devint pensive, Oh! comme les oiseaux chantaient au fonds des bois!
|
||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|||
![]() | |||||||||
![]() |
La maison de la litérature | ![]() | |||||||
![]() |
La reproduction de tout text appartenant au portal sans notre permission est strictement interdite.
Copyright 1999-2003. Agonia.Net
E-mail | Politique de publication et confidetialité