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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2006-07-16 | | il s’était souvenu des vieilles marches grises où seul par derrière son ombre à travers le miroir cheminait habituellement son regard. alors s’étaient écoulées plus de mille années déserts et mers étaient déjà passés dans ces ventres, emportant tout, ne laissant rien, pas même un morceau de souvenirs frais pour l’esprit ou pour l’estomac L’arbre semblait être un mollé* sec et se penchait alors au pied de l’ombre perdue sans arômes ni rameaux odoriférants pour écouter les conversations étrangères des mouches et des langues de vipères. (traduction : Nicole Pottier)
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