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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2006-04-01 | |
Tout à coup les nuages couvrent le ciel,
le soleil ferme ses yeux; le vent fait du bruit et se glisse, faisant bouger les feuilles du kusambi*. Le froid s’infiltre, pénétrant jusquà mes os. Quand le rêve s’amuse, le sommeil se prolonge. Le chaud soleil qui laisse le palais de l’univers me manque. Et je rate la lune éclairant qui m’accompagne chaque nuit. Pluie, viens selon la règle; soleil, viens, mais sens! Notre village n’est pas un lac, notre île n’est pas copra. Kupang, le 17 mars 2003 Version dawanaise (dawan/uab meto) Au Umasan Ulan Nope naskék a-nmetak, manas nakinkun matan; anin naslút ma nsilkon, nbekus usapi in toekin. Manikin a-ntaman kau, nsukbon neu au nuifin. Oras nanait naminbon, tupas lo matutan piuta. Au umnau manas alalat lê nasaitan sonaf ‘naek, au unekun funan apinat lê nabia kau nbin fai-fai. Ulan, muül mutuin nono; manas, mumán, muskók! Hai kuan i, in ka nefo fa, hai pah i, in ka kopra fa. Kupang, 17 Funtenû 2004
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