En bas du carrefour, à deux doigts de la fin,
Ce qui me tient en vie, me secoue d’entrain.

Le dor est suspendu comme une feuille bouffonne,
L’amour vous rejoint, l’amour vous abandonne…

Comme de vos paumes, se mettent à se réunir
Des éclats gardés dans le souvenir…

A l’instar d’un mensonge consolateur,
Le temps me neige, l’instant me cause douleur…