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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2005-03-12 | |
Hommage à Van Gogh
Tout commença au Borinage, Quelques portraits, des paysages, Ca te plaisait, c’était pourtant, Rien de sérieux, juste un passe temps, Ton crayon prit de l’assurance, Grande maîtrise et compétence. Vite le dessin devint passion, Raison de vivre, folle obsession. Puis te vint l’amour des couleurs, Profonde joie, immense bonheur. A tes côtés, ton frère Théo, Te fournissait, peintures tableaux. Emerveillé, les yeux qui brillent, Les pieds noyés dans les jonquilles, Dans les chemins, les jardinets, T’offrais au vent ton chevalet, Là , c’est un arbre qui se tord, Un champ de blé qu’un ciel dévore. De vieux cyprès à l’horizon, Jaune soleil, chaudes moissons. Toute une vie, mais un seul but, Travail d’hercule, œuvre de brute. Quête d’absolu et lourd travail, Sans fioritures ni fins détails. Tu nous laissa tant de trésors, Mille merveilles qui brillent encore, Qu’un simple hommage on doit te rendre Et que du ciel tu puisses entendre. Merci, Van gogh pour ta passion, Qui brûla même ta raison.
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