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La main de mon garçon 14
prose [ ]

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
par [mihai andrei ]

2022-04-14  |     | 



Au printemps, même s'il faisait chaud, les touristes étaient complètement absents de la plage. L'eau de l'océan était d'humeur, plus froide, parfois si je mettais les pieds dedans, je pouvais sentir mes chevilles grincer, il faisait si froid. Savin, il était sur le point de terminer ses études, il a très bien appris, mais ils ne me l'ont toujours pas donné à la maison, ils ont dit qu'il y avait encore des tests à faire, et sa main attachée ne pouvait toujours pas travailler dans un environnement libre uniquement sous contrôle, ce sont les mots du médecin Tereshinha, quand je lui parlais encore, lui disant que Savin était devenu leur cobaye, même si je n'avais pas vraiment raison, Dr Alves, il était avec le travail, il a dit, eh bien, dans l'ensemble, je suis sorti. Du côté positif en termes d'évolution de Savin. Avec sa main malade, il pouvait faire des choses légères, étant soigneusement contrôlé, car il avait encore des périodes où il était engourdi, rendant maintenant justice au chirurgien, et quant aux jambes, il était plutôt bon, il a même appris avec l'un des professeurs, des pas de danse, qu'il a ensuite pratiqués avec moi, bien sûr nous avons eu une grosse bagarre, car Tereshinha nous a rattrapés, ce qui m'a rendu irresponsable.
J'attendais les vacances d'été avec impatience, d'autant plus que Yaritza devait rentrer à la maison. Cecilia, rarement lorsqu'elle me saluait, me regardait parfois avec hostilité, parce que mon visage était optimiste, me maudissant en sortant du vestiaire, j'étais toujours sur le même quart de travail. J'en avais marre de mon argent, alors un soir, je suis allé à Alves pour voir comment il faisait avec le travail dont il se vantait.
- Bonsoir, docteur!
- Salut Pascal! Et vous, tout comme l'argent, buvons-nous quelque chose?
- Vous savez très bien, comment faites-vous avec Savin, vous avez fait une VOITURE gitane, il est injuste de ne payer que vous, si le travail est courant.
- Tu es mauvais ce soir, qu'est-ce qui ne va pas avec toi, Pascal?
- Cecilia, elle me jure depuis un moment, je ne sais pas ce qui ne va pas avec elle, si j'ai ce visage optimiste, même si je n'ai rien à manger, c'est à cause de l'évolution de Savin, elle ne comprend pas pourquoi.
- Peut-être que tu ne lui as rien proposé à cause de ça.
- Oh oui!
- Alors tu ne lui as rien fait.
- Oh oui!
- Pourquoi?
- Pour la même raison, tu ne lui as rien fait non plus.
- Je comprends, ce n'est pas une prostituée, c'est une babilleuse!
- Eh bien, a entendu le docteur, combien de temps avez-vous un doctorat? Veuillez travailler avec Savin?
- Pourquoi Pascal?
- Je voulais entendre des nouvelles de…
- Tu veux des nouvelles, tu veux des nouvelles Pascal!
- Oui, qu'est-ce que je vous ai fait, docteur? Je n'ai pas posé de questions sur votre femme, seulement sur Yaritza.
- Je vous donne la nouvelle que vous ne pouvez pas leur amener Pascal, parce que vous ne le pouvez pas.
- Oui, qu'est-ce qui vous est arrivé docteur, buvez quelque chose, donnez-moi, revenez, laissez-nous le temps.
- D'accord, je vais même te donner une double portion, tu en auras besoin.
- Alors qu'est-ce qui brûle, docteur, qui m'a rendu curieux?
- Eh bien, la redoute pour laquelle nous nous battions est devenue inaccessible.
- Elle t'a dit combien elle m'aime!
- Oh, plus que ça!
- Tu me rends curieux docteur, ne craque pas, donne-toi de toi, facilite les choses!
- Pascal, non! Vous voulez vous évader si facilement, mais n'allez pas avec moi!
- Vous me faites peur, docteur. Vous avez vraiment fait une obsession avec cette femme.
- Oui je l'avoue.
- Ils partent, un jour ce sera le vôtre.
- Je ne pense pas tellement Pascal.
- Tu meurs à l'entrée, qu'est-ce que tu as!
- Pascal, laisse-le! Nous ferions mieux d'aller au pub, je ne veux pas que vous cassiez quoi que ce soit ici.
- Oui, je vois que vous l'avez mal pris personnellement, Dr Alves, pardonnez-moi, si vous voulez y aller seul, je… le patron veut que j'aille travailler cet été, mais il ne sait pas que je suis déjà dans le trou, à il serait encore plus grand.
- Pourtant, vous feriez mieux de le remercier de temps en temps d'être venu, a-t-il dit, mais il m'a dit de ne pas vous le dire.
- Pauvre, il n'a pas eu de clients tout l'hiver, quel homme!
- Tu vois, peut-être quelques heures supplémentaires, quand tu es libre, ne lui rends pas ton argent, il ne veut pas entendre ça, peut-être que tu manges aussi à l'extérieur de l'hôpital.
- Si c'était Yaritza, elle préparerait quelque chose de bon pour moi, alors elle irait pour ses vins de qualité, comme c'est beau!
- Malheureusement, oui quels vins, que je n'ai pas compris?
- Oh, quand on mangeait chez elle, elle sortait une bouteille de bon vin.
- Crois-moi, tout ce vin, je l'ai porté, les soirs de suite, pensant qu'il me recevait.
- Oui, qu'est-ce que tu voulais dire pour moi dans le vin?
- Oh, il n'a plus le droit de boire du vin.
- Elle est malade?
- Non, aussi sain que possible.
- Alors ...
- Oui, l'élève
- Et moi qui…
- Vous me dites, j'ai hâte que les vacances arrivent.
- Laissez-moi un médecin, eh bien, comment l'élevez-vous, est-il étudiant?
- Je ne sais pas, oui, quel est l’argent de l’étudiant, je ne pense pas que ce serait un problème.
- Seulement moi…
- Tu vas bien, tu as la tête baissée, le garçon sait danser.
- Docteur, même si vous avez suivi quelques cours de psychologie à la Faculté, ils ne vous suffisent pas non plus, vous ne voyez pas que vous êtes le premier à vous planter.
- Si seulement vous vous voyiez!
- J'avoue, je ne m'y attendais pas.
- Moi non plus! Tout sauf ça, je savais que c'était une fille intelligente.
- Oh oui, celui qui prostitue tout le monde…
- Ça te va que tu aies goûté le fruit, vas-y, c'est le nom du jeu.
- Je suis désolé, docteur.
À la maison, je m'allongeais sur le sol froid, fixant le ciel étoilé, souriant à cette beauté, même s'il me secouait, je ne pouvais pas me séparer de cette photo. Je me suis réveillé étourdi en allant à l'hôpital de Savin pour partager cette beauté avec lui, Savin était tout ce qu'il me restait dans ce monde. À l'entrée de l'hôpital, l'infirmière m'a arrêté avec mon café, pointant ma montre et me disant qu'elle venait de subir un examen et que Savin dormait. Avec beaucoup de difficulté, après une conversation interminable, je fendis la porte de la chambre de Savin, le regardai dormir et la refermai doucement.
- Voici une tasse de thé Pascal, asseyez-vous sur le canapé.
- Merci… je ne sais même pas… depuis si longtemps…
- Non, tu n'as pas à me payer, c'est mon plaisir de faire des boissons maison.
- Le mien au bar.
- Que c'est beau! J'adorerais te voir faire des boissons en été.
- Malheureusement, je suis moins payé là-bas et je suis déjà endetté.
- Je te crois, peut-être pour le plaisir.
- Donc oui.
- Tu dors encore, Pascal?
- Pourquoi?
- C'est léger, c'est déjà l'aube.
- Eh bien, il fait encore assez sombre dehors.
- Regardez, vous ne voyez pas le bon côté.
- Tu as raison, tu es un peu au chômage.
- Eh bien, tu vois que tu peux.
- Oui.
- Où êtes-vous allé, votre garçon est ici?
- Oh, qu'est-ce que tu disais? Excusez-moi! Je suis idiot, je ne dors pas, tu sais!
- Je sais, tu t'inquiètes pour quelque chose ou autre, dit-il.
- Je ne pense pas, mais ça n'a pas d'importance, j'ai de la chance que tu ne sois pas ami avec Alves.
- Avec qui?
- Non, rien.
- Ecoute, j'aimerais prendre un thermos de café au bord de l'océan, après le travail, comment tu perds ton temps ici, je pense que tu es libre, que dis-tu?
- Oui, pourquoi pas, après tout je dois être gentil avec ma bienfaitrice.
- S'il te plaît, Savin, si tu veux battre là-bas.
- Cafés?
- Oh, c'est ce que tu veux dire!
- Je ne sais toujours pas…
J'essayais de comprendre ce qui était écrit sur le badge pour ne pas se moquer de moi après si longtemps, mais le badge est probablement entré dans la machine à laver par erreur.
- Quoi, tu ne sais pas, Pascal?
- Tu ferais mieux d'aller faire ta paperasse, le quart de travail est terminé dans vingt minutes.
- Oh, le café! Oui, les registres, vous avez raison!
- Je travaille aussi à l'hôpital.
- Je connais Pascal, reste calme ici.
Les paroles de Savin étaient assez sympas, surtout que si en même temps, je ne savais pas comment trouver son nom, dans mon impatience, je continuais à regarder autour de moi, en voyant la liste du personnel de ce quart de travail, visible, mais Je ne savais pas lequel pouvait être le sien.
- Morela, si c'est ce que tu cherches, Pascal. Je ne vous intéresse pas encore, vous avez fait un pas en avant ce matin.
- Excusez-moi, Morela, mais je ne savais pas parler votre langue, et vous n'avez pas cassé un grain anglais, c'est là que tout a commencé.
- Quoi qu'il en soit, maintenant que vous avez appris un peu le portugais, vous pouvez sortir prendre un café avec moi, n'est-ce pas?
- Oh oui! Pourquoi pas.
Le soleil ondulait derrière nous, nous réchauffait, emportant l'éclat de l'eau avec son feu, ce matin-là l'air de l'océan, vous faisait ouvrir les narines. Morela a sorti le thermos et deux tasses de son sac à bandoulière.
- Tiens Pascal, je ne veux pas que tu perdes d'énergie dans le sable, il fait chaud.
- Morela, comme elle sent belle!
- C'est une recette à toi, seule la force vient de nous.
- Où l'avez-vous obtenu?
- Eh bien, depuis que nous avons Savin, je parle des Roumains sur Internet, j'ai aussi parlé à Savin assit par le biais des infirmières qui connaissaient l'anglais puis le portugais.
- Oh, je sais, c'est comme ça que tu es arrivé à la conclusion que nous sommes ivres!
- Je suis ivre ici aussi, Pascal.
- Je ne sais pas, Dr Alves, m'a-t-il une fois répliqué, je pense que c'est très agréable.
- Non! Buvez, comme il fait chaud!
- Et le poivre, fantastique! Oui, je sais que tu t'es documenté, pas de blague!
- Oui.
- Si l'eau était plus chaude, nous nous baignerions ensemble.
- Je n'aime pas vraiment l'eau.
- Pourquoi?
- Je ne sais pas nager.
- A deux pas de l'océan!
- Je reste plus à l'intérieur de la ville, chaque fois que je venais aux toilettes avec mes parents, il y avait des périodes d'alimentation des requins dans nos quartiers et nous nous contentions de regarder l'eau.
- Il n'y a pas de requins ici, cette balle est prise dans les rochers.
- Oui, seulement nous vivons un peu en dessous ici, il n'y a pas de tels endroits, et alors mon père n'aurait pas accepté de prendre un bain dans des endroits privés.
- Tu ne vas pas me dire que c'est Alves Bath?
- Ouais, combien de touristes t'ont dérangé ici cet été?
- Personne, mais rien n'est écrit, s'il te plaît.
- Nous cherchons à voir s'il y a une maison près de la plage, alors nous la protégeons, vous savez.
- Maintenant oui. Excellente force bouillie, elle va avec cette fraîcheur.
- Il fait vraiment froid.
- Approchez-vous, ne mordez pas!
- Je pensais que tu ne disais pas ça!
J'ai levé mon bras protecteur et l'ai serrée contre moi. Morela était une simple fille du peuple, elle avait probablement un mort, pensai-je, elle m'a offert toutes sortes de liquides. Elle s'assit tranquillement, s'arrêtant de trembler, goûtant de temps à autre le cognac bouilli.
- Vouloir plus?
- S'il est toujours là, je le veux plus chaud.
- Ecoute, on le partage avec chacun, qu'il fasse chaud.
Il remit le thermos dans son sac, me fixant, je l'embrassai, mais il changea immédiatement de regard, allongé la tête sous ma main. Le soleil était inutile, il semblait encore plus froid, une petite rafale de vent nous faisait frissonner. Nous nous sommes levés, en donnant des coups de soleil.
- Morela, je te ramène à la maison?
- Tu es ennuyé?
- Non, j'ai froid, je n'ai pas dormi de grain et j'ai une tête de chou.
- Vous avez dépassé Alves.
- Comment le sais-tu?
- Eh bien, il explique toujours tout au patient en détail.
- Oui, tu as raison. Ai-je répondu soulagé.
Je l'ai prise dans mes bras avec mon visage, elle était toujours retenue, elle tenait sa tête sur ma poitrine, puis je lui ai tourné le dos en la frottant légèrement, la touchant de temps en temps, les côtés de ses seins, remarqua-t-elle, changeant Elle tourna son visage vers moi, prenant ma tête entre ses paumes chaudes, m'embrassa comme un enfant d'abord, puis baissa les mains, recevant le baiser chaud.
- Pascal, je t'invite chez moi, mais je reste avec mes parents pour te nourrir mon plat préféré.
- Je n'en ai pas beaucoup, mais j'ai un lit Morela.
- Je sais, toute la villa a au moins des lits, mais nous sommes tous les deux fatigués, soyez patients.
- Comme vous le souhaitez.
Nous nous séparâmes sur notre chemin, j'aurais aimé pouvoir aller à Savin, mais il était trop occupé ces heures-là avec un horaire tellement chargé. Je m'allongeais dans le lit froid, tremblant bien. Je n'ai pas trop tremblé, un coup à la porte m'a fait sortir du lit.
- Bonjour Docteur!
- Salut Pascal! Habillez-vous, nous allons au pub!
- Par ce froid, non!
- Je ne te le dis pas deux fois! Dit Alves gravement.
- Qu'est-il arrivé, docteur, Alves?
- Patron, laissez-moi vous expliquer en chemin.
Je m'habillai à la hâte et, plus méticuleusement, je quittai la maison.
- Tu n'as pas dormi du tout?
- Ne pas.
- Moi non plus, j'ai quand même travaillé, après ton départ, la colère me fait travailler.
- Je suis allé chez Savin.
- Pourquoi?
- Je voulais être avec quelqu'un comme moi.
- J'espère que vous n'avez pas fatigué l'enfant de vos bêtises.
- Je ne suis même pas entré, je l'ai juste regardé par la fente de la porte, puis j'ai bu du thé avec l'infirmière.
- Lequel?
- Celui avec le café.
- Oh, elle ressemble à ta Cecilia, je n'ai rien essayé, j'avoue, peut-être qu'elle te regarde, tu es encore plus jolie.
- Médecin!
- Non, je jure que je n'ai rien essayé, juste ce que j'ai entendu de mes collègues, c'est une situation particulière, je ne sais pas de quoi il s'agit, ils ont aussi dit que ça ne fonctionnait pas, tu sais.
- Écoute, qu'est-ce qu'on fait dans le froid au pub?
- Le patron…
- Quel est son vrai nom?
- Ha, ha, ha! Cet homme vous a donné un travail et vous ne connaissez pas son nom?
- Il ne m'a jamais dit quand il a demandé, il a évité la réponse!
- Oui, je le connais, c'est une figure.
- Pourquoi on y va, je suis un con?
- Si je te le dis, ne viens pas.
- Oui, je suis un homme, bon sang!
- En aucune façon! Ici nous essayons, dans le couloir, maintenant nous arrivons, de là je vous pousse.
- C'est vraiment si mauvais?
- Il s'est pendu.
- Oh non!
- Je vous ai quand même pris par surprise, mais vous avez très bien réagi, vous vous avancez, les difficultés vous ont renforcé.
- Je sais que vous êtes des médecins différents, mais cet homme était votre ami.
- Je le suis, il n'est pas mort, lui a sauvé Cecilia.
- Oh non! Pas Cecilia!
- Oui!
- Alors qu'est-ce qu'il faisait au bar?
- Maquillage.
- Cecilia?
- Oui.
- Je ne crois pas!
- Oui, et ce fichu Luis pensait qu'il venait le chercher.
- Oh non! Oui, vous ne lui avez pas dit que la fille était emportée, docteur!
- Oui! Il dit… eh bien, il adore depuis longtemps.
- Je pense que oui, la fille n'a pas l'air mal, mais ce n'est pas vrai, docteur! Tu me surprends!
- C'est vrai, assurez-vous que cela ne vous dérange pas quand vous le voyez, il a un cou de chou, ils l'ont coupé et lui ont mis un tuyau dans le souffle.
- Et pourquoi est-il toujours là?
- C'est arrivé ce matin.
- Qui te l'a dit?
- Je n'ai rien de fou.
- Qui te l'a dit?
- Le docteur qui est intervenu, je voulais vous faire bouillir un peu.
- Vous avez réussi.
- Comment pouvez-vous être fou de ça?
- Elle m'a aidé avec toute sa folie, maintenant et… Luis… Je prie, je ne peux pas y croire.
Je suis entré plus poussé par Alves, Cecilia était assise à côté de Luis, qui était allongé sur plusieurs tables, accroché à un tuyau en caoutchouc coincé dans sa gorge.
- Pourquoi je ne le fais pas sortir d'ici?
- Le médecin ne permet pas au patient de bouger.
- Pourquoi?
- Il n'a pas d'éléments de sécurité de colonne.
- Pascal! Cria Cecilia, me prenant dans ses bras, fondant en larmes.
- Comment avez-vous réussi à l'abattre?
- Heureusement, j'ai travaillé dans la cuisine, le fou a pris une corde très dure, je le regardais courir sa vie, mais je n'ai pas pu couper la corde plus vite.
- J'ai toujours dit que les couteaux devaient être affûtés.
- C'est comme ça.
Je me suis approché de Luis et j'ai pris sa main dans la mienne, j'étais habitué aux malades, je travaillais à l'hôpital.
- Luis, pourquoi mec?
- Je vous en prie, laissez-le, il est très faible.
- Luis, se réjouit-il avec ses petits yeux noirs, en entendant son nom prononcé de ma bouche.
- Quel courage, Cecilia!
- Dis-moi, Pascal! Quand j'ai commencé à couper, j'étais convaincu Ça allait être facile, mais quand j'ai vu la vie lui échapper, j'avais l'impression de devenir fou.
- Comment l'avez-vous trouvé?
- Eh bien, je viens souvent ici pour noyer mon amertume, j'ai honte à la maison.
- Pourquoi tu ne viens pas à moi?
- Tu demandes du sexe, Alves aussi.
- Personne ne t'a forcé, jusqu'à présent tu étais…
- Je connais Pascal.
Alves était avec le médecin qui l'avait sauvé, analysant tout très attentivement.
- Et le docteur?
- Oh, c'est moi qui veux la faire sortir de l'hôpital, tu le connais, il a vu le vieil homme quitter la maison le soir et il veut le remplacer, il ne sait pas quel ornement je suis. Il est à côté de nous.
- Tu es venu boire avec lui?
- Il n'est pas venu après mon arrivée, il est venu vers moi, Luis a vu…
- Écoute, tu connaissais son nom et tu ne me l'as pas dit?
- Non, je l'ai découvert ce matin.
Je voulais rire, mais je ne suis pas tombé dans cette situation.
- Comment, il a vu le docteur et pack! Je ne crois pas!
- Eh bien, j'ai plaisanté avec Luis, le fou ... qu'il m'a surpassé, qui sait ce qu'il a compris, que je n'ai pas eu le courage de coucher avec lui, comme je l'ai fait avec toi, alors il ne l'aurait pas fait .
- L'avez-vous embrassé?
- Non jamais.
- Je ne comprends plus rien, Platonique se bat!
- Oui, quelque chose comme ça.
- Quelque chose, quelque chose que tu lui as dit, parce qu'il avait tellement peur!
Enfin le sauvetage est arrivé, Luis leva un bras, arrêtant toute l'action, les yeux fixés sur Cecilia.
- Promets-lui quelque chose, il est prêt à enlever son tuyau. Dis-je derrière Cecilia.
- Viens avec moi, Pascal.
Je lui ai pris la main et l'ai tirée plus près de la civière.
- Luis, va bien, quand on sort, on va faire un tour ensemble, si tu es bon.
Luis sourit, tenant fermement le tuyau dans son cou avec sa main, et avec l'autre, il leva le pouce, signe de vie.
- Allez, enlève tes mains du tuyau, laisse les médecins.
Luis, il se tendit et resserra sa prise sur le tuyau, tirant un peu sur lui, puis Cecilia mit sa main sur la main de Luis, tendue jusqu'à la limite, petit à petit, ses yeux s'illuminèrent, son visage devint souriant.
- Cecilia, fais attention, maintenant elle désarme, elle veut partir! Alves souffle.
Cecilia, à son tour, a remarqué le dessous de cette manœuvre et a mis sa main sur ses doigts tendus, se penchant sur Luis, ses seins chauds, l'embrassant sur la lèvre inférieure gauche, sa main a cédé, les médecins et les infirmières la regardaient, pendant Pour l'immobiliser, Cecilia a également remarqué que c'était plus difficile qu'elle ne le pensait et a posé sa main libre sur la tempe de Luis, posant sa tête sur le baiser, l'autre main était déjà dans celle d'Alves, souriant encourageant, Luis le regarda à contrecœur lâcher prise pour embrasser Cecilia, mais Alves, juste sourit chaleureusement, en lui faisant un clin d'œil, le pressant de l'embrasser chaleureusement, Cecilia monta à l'autre lèvre l'embrassant passionnément, tenant toujours sa main fermement Cecilia l'a senti et a continué à l'embrasser avec plus d'insistance, la main de Luis s'est légèrement affaiblie, mais prudemment, Cecilia a insisté pour passer son autre main dans ses cheveux en désordre, sa main a commencé à desserrer le tuyau, tout le monde a souri à la main de Luis. Cecilia a finalement mis un pied sur le ventre de Luis, massant ses genoux, il a desserré le tuyau plus loin, a finalement serré Cecilia par le cou, essayant de sortir de la main d'Alves, mais déjà il était trop tard, sa main était déjà immobilisée, Cecilia descendait de lui en lui souriant toujours, Luis lui lança un regard noir, réalisant qu'il avait été dupe, Cecilia ne le regardait plus comme avant.
- Qu'est-ce que tu pensais que je te suçais maintenant?
- Cecilia! Dit Alves, lui prenant la main et la tirant hors du cercle avec moi, sans voix.
- Qu `est-ce qui t` arrive? Ai-je demandé avec horreur.
- Laisse-moi! Pourquoi tu ne l'as pas embrassé, il la prendrait anale, juste pour ressentir quelque chose, c'est fini!
- Cecilia, allons dehors.
- Pascal, prends soin d'elle, elle est sous le choc.
- Oui, docteur! Prends soin de Luis.
Le sauvetage ayant disparu, j'ai regardé Cecilia avec consternation, je n'ai rien dit de plus, je me suis assis sur le sable devant le bar et j'ai regardé l'océan pleurer.
- Il est plus étranger que nous, Pascal.
- Garder le silence.
- Seuls nous deux avons adouci sa vie, il n'a personne.
- Alves.
- Alves, elle est la mère des blessés, de toute façon elle charge sa tête de toutes ses conquêtes ou qui sait dans quelle position il a pris une prostituée!
- Garder le silence.
- Et Luis, il pense que c'est le monde réel, mais il ne va pas aux femmes. Pourquoi ne l'a-t-elle pas emmenée avec elle, si elle n'arrêtait pas de lui dire comment les enfiler!
- Tu n'entends pas ce que tu dis? Tu es sous le choc Cecilia.
- Emmenez-moi, Pascal.
- Je te prendrais, mais je ferais l'amour, et ensuite tu me tuerais, Cecilia."
- Oui, je pense que je serais capable de faire ça.
- Tu vois.
- Comment les connaissez-vous tous?
- Je ne sais pas.
- Vous avez toujours un projet?
- Qu'est-ce qui ne va pas?
- Alors, je prendrais ta main, prendrais les enfants et irais à Paris.
- Beau, trop beau.
- Non, on se débarrasserait de tous ces profiteurs!
- Ces profiteurs, comme vous les appelez, ont sauvé mon enfant!
- En aucune façon! Cria Cecilia, tant que ses cordes vocales la tenaient.
- Garder le silence.
- Ce fichu requin, ton enfant a bien fait, il a remis sa main à Bucarest, Pascal.
- Oui.
- Voyez, oui à Bucarest, vous n'avez pas de requin, non!
- Ralentissez.
- Emmène-moi quelque part et frappe-moi, je ne peux pas!
- Pas plus hurler!
- Donnez-moi quelque chose à boire, Pascal.
- Où, je n'ai pas un sou, et hors du pub, je doute que tu veuilles.
Alves, quant à lui, est apparu.
- Luis est de beaux enfants, que fais-tu Cecilia?
- C'est un mauvais docteur! Qu'en faisons-nous?
- Soyez patient, je vais terminer ici, nous parlons après ça.
- Écoutez docteur, prenez-moi! Il ne veut pas!
- Nous allons vous emmener tous les deux Cecilia, restez ici, bon, je veux fermer le bar.
- Allez, laisse-la!
Alves est allé au bar pour tout fermer pour être fermé. L'électricité, l'eau et plus encore, il est sorti avec une grande bouteille de force sous son aisselle, fermant le bar.
- Allez, les enfants!
- Où?
- A toi, Pascal.
- D'accord, docteur! Ne dis pas que je ne te l'ai pas dit, je ne sais pas ce que ta maison a, laisse toutes les femmes s'enfuir quand elles le voient, n'aggravons pas la situation!
- Alors mettons-le dans la baie et on verra!
- Es-tu sérieux?
- Je plaisantais, mais comme Luis, il l'avait mis dans son nez pour ressentir quelque chose.
- Docteur, je pense que vous êtes choqué, allez demander de l'aide, vous pouvez vous le permettre.
- Pascal, cet homme, j'étais très cher, je suis allé en parallèle.
- Oui, seulement tu es allé à Paris pour te voir.
- Tu as raison. Où nous emmenons Cecilia, si nous l'emmenons au Père Noël, elle a des ennuis.
- À toi…
- Tu n'as pas dit…
- Oui, ça l'est! Je ne sais pas, docteur, la vérité est que vous avez l'air très mal aussi. Je m'attendais à ce que tu sois plus fort.
- Je ne suis pas chirurgien.
- Sancy, je ne meurs pas sur la tête, au moins je meurs à la table du chirurgien ou je prie.
- Venez à vous, Pascal!
- À toi!
- Eh bien, allez!
Nous flanquâmes Cecilia et montâmes chez Alves au-dessus de la petite baie. Cecilia s'assit directement sur le sol, fixa où j'étais la nuit dernière et fixa le ciel.
- Pascal, regarde-moi, tu peux gérer cette fille?
- Je ne sais pas pourquoi tu n'es pas médecin, tu sais juste autre chose.
- Je sais l'enfer, Pascal! Je suis tout aussi désespéré, seulement vous êtes le meilleur dans cette pièce et ensuite je veux être proche de Luis. IL an abuse basin de quelqu'un. Séparons-nous, Pascal.
- Bon doctor.


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