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Étoile éthique
prose [ ]

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par [h.p.sebastian ]

2012-04-16  |     | 




Il neige. Il neige dans les coeurs des pigeons. Dans les âmes des prostituées roumaines. Sur les seines des vierges qui parlent de la démocratie communiste. De la chute dans les ténèbres du temps futur. À la fin de l'histoire de la neige ne reste que la mort. Et l'esprit du sang perdu dans des dialogues fous. C'était la vérité d'une longue nuit de décembre sans feu. Ni artifice érotiques. C'était l'histoire d'un cauchemar inutile. Entre moi et le pigeon blanc il y a un amour fou. Un amour perdu et retrouvé. Sans ma sainte je suis un con. Un idiot. Un bel fou. Juste un mot me sépare de cette femme. De cette illusion. C'est une chose qui raconte la démocratie des chrétiens dans une église d'un pays perdu. D'un pays qui parle dans le silence des humanités. C'est la braderie des mots. Des livres. Sans début. Ni fin. À la fin je rencontre dans mes veines le sang et l'esprit camusiens. La révolte contre moi. Contre la société. Et contre la communication. Point.

La neige est rouge dans mon pays. Elle a la couleur d'une vierge. D'une nuit sexuelle. La première. Au début c'était l'idée. Maintenant c'est la logique des esprits. Des sacrés. Sans identité les esprits deviennent des pigeons blancs. Des pigeons sans vols. Sans idées. Parce que dans les pays de l'Est les idées se ferment dans des palais des réfugiés du destin. Des destins de l'humiliation. De la colère. Chaque couple est une histoire des paroles. Des complèxes de la vie culturelle. Une culture des vaches. Des points. Des virgules. Une histoire d'un couple révolté. Je ressens de mon appartament villageois les sentiments de la chute. Mais la chute n'est qu'une nouvelle vie. Une vie sans Maria. Sans hypothèse.

Camus et quelques nuits sans amours. Sans poétique. Tout est poétique dans les veines du monde de l'Est. Tous et toutes font de la prose-poétique. Cela me permet à écrire mon nouveau poème démocratique. C'est l'utopie des foules. Des paroles sur l'identité et la neige sur les ailes des pigeons. Entre nous il y a une politique des secondes. La seconde est la dernière prose que je veux écrire. Dans mon coeur il y a une nouvelle nuit des hypothèses. Je sens. Et je ressens la mort de mon peuple. Je suis triste comme une hirondelle dans la journée du printemps passé. Voilà un homme sans espoirs. Sans route. À l'Est c'est comme ça. Une main lave une autre. Et chacun sait que demain tout le monde va comprendre que ta femme n'est pas vierge. Qu'elle est devenue maintenant ironie. Faiblesse. Tendresse. Et quelque chose presque infinie.

Je refuse le sommeil parce qu'il me rend fou. Je me tais. Je suis isolé entre les montagnes des idées. Entre les lèvres de ma sainte. Maintenant il pleut et il neige dans les esprits des gens de l'Est. Je suis né dans une ville des morts. Ou meurtrière. À la fin de l'histoire ne reste que l'hypothèse. Le début se trouve dans mes veines. Je ferme le livre de Camus. C'est fini. Tout est utopie. Ou la merde est confondue avec l'ironie. Entre moi et Camus il y a un poème. Le poème de l'Est. Un poème sans fin qui transmet les effets de la rennaissance du peuple. Le peuple du Danube. Mes mains atteingnent le visage de M. Elle est partie depuis longtemps. Dans le coeur du loup la souffrance des isolés devient idéal. Une sorte d'histoire des idiots. Des démocraties rouges. Ou bleues. Ou il y a de nouveau une guerre des mensonges. Comme d'habitude tout est fou. Tous les gens des rues sont immortels. Toujours la même souffrance. La souffrance et la compréhension que la nuit commence par le dialogue.

Je dors. C'est la nuit du mensonge. La nuit du dialogue interrompu. Je ferme les yeux sans rire. Sans sourire. Devant mon esprit se trouve l'Histoire de mon peuple. L'histoire du Danube. Et de la Noire. La mer Noire. C'est la chute dans un rêve innatendu. Je vois la figure de ma mère en coupant les pommes de terre en million de morceaux. C'était toujours comme ça. Elle ne mange pas le matin. Elle est au régime. Maintenant elle se retrouve devant un escalier fermé par les trous de la renaissance d'un peuple meurtrier. Mon père est parti faire son boulot. Il lit le même journal. Un journal sur la vérité des idiots. Qui parlent des choses vulgaires. Tout est strictement ordonné en morceaux de pains. Le pain est utopie. À l'Est les gens ne mangent pas de pains vulgaires. Le pain vulgaire est le pain rouge de la souffrance. Je ferme de nouveau les yeux. Comme d'habitude je pleure. Comme un chien qui aboie à la lune. Vulgaire.

Mon destin commence par un dialogue des muets. Un dialogue des personnages en cire. Un cercle. Et tout le monde de l'Est devient une histoire sans histoire. Au debut c'était la nuit de la vierge. La nuit de la chute des pigeons. Maintenant il neige dans le coeur des poèmes. Le temps passe. La vie passe. Moi je regarde de mon lit la nouvelle littérature des individus sans maisons. Sans avoir la moindre idée de ce qui se passe devant les cendres des fourneaux. Cela est la vie à l'intérieur des personnages des marionettes. Toujours il y a une différence entre les poèmes des morts et la poésie des vivants. Pour l'instant je ferme ce Camus ridicule. Son mythe ferme la bouche et les yeux des idiots de la démocratie. De la fausse démocratie des chrétiens. Je suis un chrétiens sans croyance. Je crois dans le destin de la république des mots. Deux points. Un seul point. Virgule. Entre moi et ma famille se trouve le destin d'un réfugié sans vie. Je vis la vie des autres. Je suis complètement fou dans cet espace sans forme. Sans couleur. Sans fermeture. Et sans ouverture.

Tout est blanc maintenant. Toute ma vie reste entre guillemets. Je ressens le parfum de ma patrie dans mes veines comme une chanson folklorique. Juste comme un temps qui passe dans nos coeurs une nouvelle histoire d'amour. Et l'amour se transforme. Il devient autre chose. Ou bien quelque chose qui renouvelle le paysage des morts dans les rues d'une ville martyre. Moi je rêve une utopie des contradictions. Mes rhinoceros sont des prototypes de la société avant la chute. Chacun milite pour une patrie sans corruption. Moi je veux un destin qui se ferme dans les ténèbres. Dans des espaces sans début. Ni fin. La lune est rouge maintenant. Tout le ciel est un espoir pour les résidents. Pour le peuple qui crie leur souffrance. Mais pour d'autres la poésie est un art des mélancoliques. Et la mélancolie sert à quoi ? Peut-être à renouveller les illusions. Avant peut se trouve être. Et après être c'est peut. C'est toujour un lien complèxe entre lumière et ténèbres. C'est la différence entre l'amour pour ma sainte et l'amour pour cette pute qui a oublié l'art érotique du mensonge.

Je suis triste parce que mon sysiphe est désespéré. Il s'est caché en moi pour regarder la chute d'un système. Il fait l'amour à mon destin. Et le destin est une lumière sous la neige. Ma sainte est vierge comme une hirondelle blanche. Je parle à ma sainte chaque soir. Je lui confie mon amour éternel pour la nouvelle république. Une république qui défend ces citoyens devant les grosses chutes de neige. Et après cette guerre il y a chaque fois une situation difficile à mettre en scène : les morts vivants ouvrent leurs bouches pour dialoguer. Comme étranger je suis un mort vivant dans un pays presque aimable. Je sors de ma poche un journal. La pièce d'identité. Le passeport. Et beaucoup de manuscrits. Des poèmes vierges. Des idées. Et des pommes. Pas de pommes de terre. Juste un pas. Et mon séjour serait fini. Je tais. C'est la meilleure solution. Pour toujours.

Chaque phrase commence par la fin d'une danse érotique. Et mon peuple à moi devient histoire. Voilà la nuit sombre des désirs. De la paix. Et de la confusion. Voilà la terre du cercle des vices. Des hommes tristes. Des papiers blancs dont on écrit des déclarations des revenus. Il y a dans ma ville de l'Est une poésie qui parle des choses bizzares sur l'utopie des reconnaissances. Je veux juste appartenir à mon peuple. Mais sans reconnaissance je reste un rosseau parlant dans le vide. Et le vide refuse mon échec. La phrase de cette nuit blanche est la mort. Et l'ennui. Voilà mon désir. Je veux mourir pour renouveller mon contact avec ce Dieu qui n'existe pas. Avec ce Dieu qui ne reçoit qu'une fois par semaine. Et mon Dieu du Danube il est où ? Personne ne répondent plus. Je sais que c'est la fin. Ou elle est proche. Comme toujours. Proche.

Je me demande pourquoi les gens de l'Est tuent les pigeons avant la première chute de neige ? La réponse c'est toujours cachée dans les arbres de la nuit. Dans les ailes des hirondelles. Ou peut-être dans la nuit des morts dont les âmes se trouvent dans le blanc de la robe de la vierge. De la sainte qui se promène dans la fôret des verbes. Devant il y a toujours une sainte qui me parle des choses que je ne connais pas. Toujours c'est pareil. Maintenant j'erre dans la rue comme un fou. Comme une hirondelle sans ailes je me promène sur la ceinture du rêve. Je me tais. Je suis un éternel oiseau sous le ciel sans lumière. C'est le cil de la démocratie mal entendue. C'est une sorte de sisyphe camusien. C'est quelque chose d'étrange dans ma voix. Mais je ne désespère plus. Je me suis déjà habitué. Je vais tuer des lions dans le pays de mes ancêtres. Je mets un point et une virgule entre moi et l'autre. L'autre c'est moi à l'inverse. C'est comme dans un mythe camusien de l'artiste. Oui. Je suis un con. Un faux con. Je tremble sans pouvoir expliquer cette situation. Je ne demande plus. Parce que maintenant j'exige. Dans mon coeur se trouve ma sainte. Cette vierge qui me regarde du fond de ses yeux. Comme une folle. C'est le Danube dans ma chambre française. Deux mots. Deux chutes dans la mélancolie. La mort est presque fermée dans le tremblement de terre prévue la semaine prochaine avant le procès de conscience. Oui. Aujourd'hui c'est la concience qui compte. C'est elle qui nous explique quelle chose marche ou pas. Je ferme mon journal. Il pleut sur les rues parisiennes. Comme d'habitude.

Je prends avec moi le mot danube. Ce mot de ce pays de l'Est. Saint et vierge. Je le ferme bien dans ma poche. Personne ne connaît mon désir. Personne ne sait mon nom. Ma vie. Je suis un étranger pour tout le monde. Le danube est presque une porte ouverte vers la liberté. Vers la mort dans l'illusion. Chaque nuit ce mot devient obsession. Il devient une poétique de la mélancolie. Ou de la chute dans les ténèbres. Dans le cauchemar de l'inutilité. Ceux qui sont inutiles sont des connards. Des hommes sans fin. Sans pays. Sans raison. Des hommes qui provoquent la rupture des systèmes. De la démocratie des espaces fermés. Des étoiles. Des paroles. Je parle pour que le monde comprenne que le danube est un jeu des silences. Des silences des portes ouvertes. Des mains rouges. Des mains sanglantes. Et après il y a la raison qui gagne la guerre des consciences. Toujours. Et sans justifications. La poétique des souffrances est une expliquation pour le redoublement de la consonne finale de chaque personne qui se trouve devant le contrat à vie avec la maladie. Oui. Non. La maladie de ce siècle est la maladie des idiots. Et des foux mentaux. Ou dans mon manteau je porte le Danube et l'image de mes parents. De mes amis. Et de mes proches. Le danube et le sang. Le sang et le compèxe sisyphique de la rennaissance. Rennaître signifie mourir pour la deuxième fois. Oui. Mourir devant ou sous la neige rouges de l'Est sanglant. Sans démocratie véritable les villes touchent l'illusion. Et l'ombre du ciel. Le ciel. Entre guillemets. Oui. J'ai toujours raison. J'en suis sûr.

Aimer c'est pour les gens de l'Est une histoire sans fin. Elle commence par un sourire et finit sous le soleil démocratique des idiots. Tout le temps il se passe quelque chose d'étrange dans ma poche. Il s'agit d'un mouvement de la révolution blanche. Il neige. Il neige dans la maison étrange de la grande église esthètique. Toujours c'est comme ça. Il se passe des choses vraiment sans forme. Les sentiments de l'étranger se manifestent comme une révolution des espoirs. Je regarde la chambre des R. Une famille sympatique. De vrais français. Mais il y a un barrage entre nous. Ils parlent de la nuit sombre des étrangers. Je suis un étranger. Ils sont quand même dans une cage des interprétations. Ils ne comprennent pas que la solution est la poétique des idées. Pour accepter un étranger il faut lui expliquer la notion de la fermeture des yeux. Des âmes. Des coeurs. Il faut lui mettre en évidence la république de mots. Des visages. Des compréhensions. Mais il faut l'accepter comme une boule de neige. Comme un sapin dans la nuit ensoleillée de l'hiver. Le soleil est le mirage des tous les gens qui ne parlent pas la langue du pays d'adoption. Un pays d'adoption est un pays difficile à comprendre les gestes. Les yeux ouverts vers la mer. La mer et la montagne du sel. Tout est désir.

Avant c'était la mort. Après c'était la naissance. Maintenant c'est l'obscurité du soleil qui apparaît dans les coeurs des individus aux épaules pleines de neige. Aujourd'hui tout le monde parle de la nuit des saints. Je parle de ma sainte. De ma Maria qui se transforme dans quelque chose d'inconnue. Dans une solution finale du mot mélancolie. Elle est la meilleure mélancolie des foux. Des malades mentaux. Devant moi il y a une chaise. La meilleure chaise du monde. Je lis le livre de la mort comme une nouvelle histoire de la renaissance des esprits. Et mon esprit il est déjà parti. Il se trouve sur les lèvres des gens sans lumière. À l'Est il y a des trous pour les foux. Pour les personnes invalides il y a des murailles rouges. Des murailles sans sortie. Et après c'est toujours une histoire. La meilleure histoire du monde libre. Pas libre. Démocratique. Juste un point. Un point sans virgule. Et je tombe dans la mélancolie que tous les étrangers portent dans leurs coeurs pour répondre aux inconnus que le jour de la liberté des malades est loin. Oui. Tout est vrai. Tout est à l'inverse. Un autre monde. Des rats. Rouges. Blancs. Ou peut-être jaunes. Les couleurs de l'espace fermé. Dans l'illusion.

Les portes sont fermées. Personne n'entre dans ce labyrinthe esthètique. La poétique de la mélancolie se ferme dans les paumes des victimes de la société. La société est une sorte de démocratie est-étique. Une fausse chanson de la chute dans les rêves. Tout le temps les gens de l'Est doivent comprendre que le mot illusion est une chanson de la liberté de la pensée. Une pensée qui choque par le déroulement du contenu des gestes. Des paroles. Des actions. Toujours il y a de la matière. De la science humaine qui provoquent le dialogue. Et après il n'y a que la vie sans lumière. La vie dans la nuit qui tombe sur nos épaules. Tous sont coupables de l'avenir d'une nation. Une nation sans avenir est une autre poétique des chimères. C'est un long chemin vers les nouvelles patries des orphelins. Ou vers la nuit des communications sous le lit. Un lit des pauvres. Une chambre étrangère. Une chambre blanche vide. Je lis un autre Camus. Un Camus trop compliqué à comprendre. Un mythe d'un Jonas qui veut souffrir dans un art sans avenir. Je pense à un autre artiste. Celui qui parle des ventres des poissons. Un personnage presque éxotique. Mais pas érotique. Il parle pour les autres. C'est un Camus fermé dans un espace des nations. Des patries rejetées. Des patries sans noms. Sans idoles politiques. Une virgule et le reste de la mélancolie est une lune rouge. Une lune sans éspoirs. Sans. Éspoirs. C'est comme ça. À l'Est tous les gens vivent une mélancolie dès leur naissance. Jusqu'à leur mort. Un labyrinthe des malades. Des tristes. Des tristes étiques.

Je prends ce sisyphe entre mes mains. Sans rire. Sans dire un mot. Je crains. Les gens qui traversent les rues sont des personnages assez idiots. Je ne dis pas grande chose. Il faut qui je parte. Pour l'instant je ferme la porte de mon petit studio. Une rue inconnue. Un logement sans lumière. Pour un étranger c'est toujours comme ça. Je commence à relire mon petit journal camusien. Mon journal de la mélancolie. De l'Est. Je suis un autre fou qui cherche la liberté de la lumière. Pas la liberté des paroles. Mes paroles ne signifient rien. Tout le monde connaît mes souvenirs. Les étoiles du ciel ont déjà fermées les yeux de la lune. Je me tais. C'est l'unique chance de suivre le chemin vers ma sainte. Une sainte dont je ne me souviens plus son nom. Une sainte sous la lumière de l'étoile. Une sainte sans identité. Elle est une étrangère comme toutes les femmes de l'Est. Les identités sont perdues. Dans les poches des individus sans chapeaux. Ils sont des rouges. Des blancs. Et des … je ne sais pas quoi. Chaque fin commence par une nouvelle histoire. Un mystère. Une nuit de jeu et de l'étoile. Une étoile de l'éthique. Toujours il y a des rats qui mangent les esprits des autres. Et ce qui reste après le déluge c'est la vie sans armes. La vie sans humanité. Sans le moindre dialogue entre les ombres des personnes d'autrefois. Oui. Je voudrais sortir en ville. Mais je ne peux pas. Parce que je suis aveugle depuis mon départ. Un aveugle qui cherche son étoile éthique.

Le journal de ma poche cache tous les désirs. Toutes les formes de révolte contre les systèmes politiques. Mais entre mes paumes se trouvent une hirondelle. Une hirondelle venue de ma sainte. Une sainte et des gestes. Les regardes de celle-ci prouvent que l'histoire des morts de ma ville éthique n'est pas oubliée. Oublier est une forme de prison. On ne peut pas oublier les morts. Les rats. Et les communistes sans chapeaux qui conduisent maintenant la république des paroles. On peut communiquer mais on ne peut pas réagir contre les gestes. Nos gestes sont inutiles. Sont des mystères pour une nouvelle vie. La vie des hirondelles qui regardent les jeux esthétiques. Les jeux de la poétique du mot rouge. Partout il y a du sang. Des cauchemars. Des phrases qui choquent les esprits saints. C'est quoi un saint ? Je réponds à moi-même que c'est une parole des hirondelles. C'est une fermeture du resto du coin des lèvres. C'est étrange en tous cas de parler avec toi. Mais il faut comprendre les jeux de la mémoire. Il faut les mettre en évidence par une rupture au milieu de cercle de l'infini. Une rupture entre l'amour et la nuit. Entre la neige et les esprits des foux.

Il neige. Il neige dans mon coeur depuis longtemps. Je me retrouve dans les yeux de ma sainte. Je ris. Rigoler est un message. Un code éthique. Le vent souffle pour les cons. Au coin des lèvres il y a une histoire sans mots. Et sans gestes. Une histoire populaire des idiots qui croient dans le peuple des renards. Des rouges. Des verts. Des blancs. Des bleus. Des pierres qui tombent. Dans la rue personne ne parle. Personne ne répond aux questions sans réponse. Personne …
























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