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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2006-05-11 | | Inscrit à la bibliotèque par Denis Beckert
T'aimer secrètement fut mon larcin,
Pour être à ton goût, car j'ai cru lire En tes regards un éternel empire De rêves voluptueux et assassins. Je n'en peux plus; ma flamme fond la cire Du vain cachet qui cèle mon dessein; Aussi veux-je brûler aux flammes de ton sein, De l'âme qui me sait et me désire. Mes lèvres et mes yeux de fièvre torturés Les vois-tu donc, pour m'en guérir, ma reine, Ma douce enfant aux longs cheveux dorés ? Tu rafraîchis mon front de ton haleine, Et ton sourire enivre ma pensée. Ô viens contre mon coeur... ôte ma peine. Traduction Emanoil Marcu
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