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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2008-06-18 | | Inscrit à la bibliotèque par Guy Rancourt
J’ai poussé plus haut que l’homme et l’animal,
Et si je parle, - nul ne me parle, à moi. J’ai poussé trop solitaire et trop haut : J’attends : qu’est-ce donc encor que j’attends? Le siège des nuages est trop près de moi, - Ce que j’attends, c’est le premier éclair. Hiver 1882-1883 (Friedrich Nietzsche, Poèmes et fragments poétiques posthumes, (1882-1888)
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