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■ Je me rends au ciel ![]()
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2007-10-17 | |
Le poète bouge dans un monde où les riens deviennent essentiels. L'essence - même du rien fait semblant d'être tout, en vivant à portée de petites choses dont la naïveté rend le poète incertain, de petites choses qu'il apprend à valoriser, comme seul moyen d'ennuyer Dieu. Ainsi, le rien prend des valeurs, il devient humain. Il est conscient que le poète est l'ombre fragile des riens, approchée et incorporée à son état naturel. Le poète nous donne la définition du rien. Un livre est né des échecs qui passent au-delà de leur condition négative, en prenant la forme de vos émotions. Ainsi, les riens du poète deviennent des affirmations essentielles.
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