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agonia Textes Recommandés
■ L'hiver
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2005-09-16 | |
Il y a
cette aile de papillon que je te tends aujourd’hui, en tremblant sous ta fenêtre. Il n’y a personne aux funérailles. Ma main me fait mal et je peux plus. Tu restes quelque part derrière les rideaux, en nourrissant tes poissons. Tu mets ta robe de chambre et tu te mets au lit. Il y a tellement d’accidents dans la rue. Je ne sais pas, es-tu là , avec quelqu-un, avec ... plus loin je n’ose pas je ne peux pas penser ou aller. Je sais, cette nuit je rêverai de nouveau de toi. Il fait froid. Mon dos rejoint la muraille et change en pierre je pleure quelques dernières larmes, tristes dénouements. Je deviens fluide et me prépare à les rejoindre. Parfois elles me semblent monstrueuses. Parfois je vois mon visage dans leurs visages. La nature a fait un bon travail. Leur vague est prête pour m’emporter, elles ont leurs bras de pieuvre largements ouverts. Ca m’effraie, sincèrement toutes ces madones aux yeux sculptés en pierre avec leur bébés en pierre en descendant du métro créatures parfaites d’un départ inattendu. Les veuves de l’infini sont entrées chez moi hier soir et depuis lors elles me chauffent et me confirment et pleurent sur mon escalier, elles, dont les cris ont renversé une fois des dieux. Moi, je me dis que Dieu a eu raison, quand même, au début c’était la parole une seule non
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