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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2016-07-24 | |
Laissé au bord du Richelieu en brise d’azur,
Printemps, du tout début, souffle penseé, Qui frotte les rives par petites vagues casssées A l’infinit, se ravissant du nouveau temps qui nait nature. Je cours au long de la rivière pour les quelques appels De ce matin; pour Paul Loiselle et pour Normand Chaput… Sur places que je connais, autant de lines comme ciel, Où cachent petites assises; Calixa Lavallée, Ville de Varenne… partout. La terre géante renait du blanc, s’accouple au bleu, Avec le vert, comme un tapis, Qui chauffe parbrise et donne de larmes qui courrent le yeux, Tennants d’une disque de phare… coullisses autant jelées. Comme une mélange d’argent, mercure, des silos brillent Dans un soleil qui veut partout, pour soi, plein de miroirs… Mêmes dans l’asphalte, qui me promene comme une anguille, Collant, pour que le rêve s’arrête et recommence devoir. A l’orizont, la grange d’un brun intense, casse la vue Pour un reveil que la vie tourne d’un fade reel Et, je me laisse, comme un robot, pensée perdue… Dans un salut, faible réponse, encore une fois perpetuel… 20.03.2014
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