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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2015-05-14 | | Inscrit à la bibliotèque par Guy Rancourt Non tu ne connais pas mon triste et doux pays, Tu n’as pas entendu les vagues sur la grève, Tes yeux n’ont jamais vu passer dans le ciel gris La forme décevante et magique du rêve. Ah ! tu saurais comment je t’aime, seulement Si tu voyais la mer insondable, éternelle… Tu comprendrais pourquoi je suis triste comme elle Et quel rêve infini j’avais fait en t’aimant… (Jeanne Neis-Nabert, « Carnets d’une morte » in Silences brisés, 1908, p. 82)
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