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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2014-07-24 | | Inscrit à la bibliotèque par Guy Rancourt Une dernière fois, avant de m’en aller et de tourner mes yeux vers l’avenir, dans ma solitude, j’élève les mains vers toi vers qui je cherche refuge, toi à qui j’ai consacré des autels solennels au plus profond de mon cœur. Que ta voix en tout temps me rappelle ! Ciselés, ces mots flamboient : au dieu inconnu. Je lui appartiens, même si je suis resté jusqu’à cette heure entouré de brigands : Je suis à lui – même si je sens les liens qui dans le combat m’attirent ici-bas, et me forcent à le servir, moi qui voudrais le fuir. Je veux te connaître, inconnu, toi qui pénètres au fond de mon âme, toi qui traverses ma vie comme une tempête, toi l’insaisissable, mon proche ! Je veux te connaître, je veux te servir. Automne 1864 (Friedrich Nietzsche, Poèmes de jeunesse, 1858-1871)
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