agonia
francais

v3
 

Agonia.Net | Règles | Mission Contact | Inscris-toi
poezii poezii poezii poezii poezii
poezii
armana Poezii, Poezie deutsch Poezii, Poezie english Poezii, Poezie espanol Poezii, Poezie francais Poezii, Poezie italiano Poezii, Poezie japanese Poezii, Poezie portugues Poezii, Poezie romana Poezii, Poezie russkaia Poezii, Poezie

Article Communautés Concours Essai Multimédia Personnelles Poèmes Presse Prose _QUOTE Scénario Spécial

Poezii Românesti - Romanian Poetry

poezii


 


Textes du même auteur


Traductions de ce texte
0

 Les commentaires des membres


print e-mail
Visualisations: 1303 .



New York
poèmes [ ]

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
par [Lalande ]

2013-03-25  |     | 



Les gratte-ciels de fer et de vitre et d’air
De reflets brillants enflammés d’azur
Comme cette vieille mer séparée par Dieu
Vagues monstrueuses de fenêtres sombres
Où la nuit astrale dépose un baiser
Étoilé marcheur qui écume les rues
New York sans son smog sans son voile de noir
Sans son gaz trop cher linceul de fumée
Brèche de lumière rayonnante entre
La crête des édifices liquides
Pure nuit Nature et imaginaire
New York sans son smog futur illusoire
C’est trop beau trop beau s’écrierait Rimbaud
La ville folle et belle sous l’éclat sans filtre
Des étoiles nues qui brillent comme des filles
Des rues de phosphore violettes et étranges
Où sur le bitume mirage impossible
Transportés d’amour et pleins enivrés
Par la majesté combinée du ciel
Et des édifices la nature l’humain
En union splendide et inespérable
Des amants parfaits baisent extatiques
L’homme chevauche la femme à la fleur
Dans ses cheveux bruns sur les corps tremblants
Les mains douces dansent d’autres au loin discutent
Sous un porche sale un verre à la main
L’espoir luit au cœur nuit d’étoiles en ville
Pendant qu’un chauffard menotte constipée
Sous le poids du smog hallucination
Plus absolument triste et sans espoir
Comme l’est toute vie sans délicatesse
Et légère folie se fais de la bile
Et s’écrie : «Pas moyen de circuler
Putain de hippies ! Moi je suis pressé»
Lève les yeux au ciel esclave insensé
De Moloch-ciment car pour cette nuit
Le ciel est sans crêpe les étoiles brillent libres !

.  |










 
poezii poezii poezii poezii poezii poezii
poezii
poezii La maison de la litérature poezii
poezii
poezii  Recherche  Agonia.Net  

La reproduction de tout text appartenant au portal sans notre permission est strictement interdite.
Copyright 1999-2003. Agonia.Net

E-mail | Politique de publication et confidetialité

Top Site-uri Cultura - Join the Cultural Topsites! .