Ces dernières années, j'ai perdu mon sang-froid,

J'ai couru après des bagatelles,

alors je lui couvrait le visage de ses mains,

et j'ai pleuré,

parce que tout ce que je voulais, c'était

de mourir de faim,

mais l'auteur de tourments.



Rien ne me rend plus heureux,

que les mots peints le visage,

J'apporte ce sourire intérieur d'eux,

puis laisser la douleur montagnes couvertes

Le grand espoir.



tout ce que je voulais,

Les étapes étaient libres

insouciante dans ce monde,

sourires qui peuvent être recueillies comme des fleurs,

cailloux pointus qui viennent dans mes pieds nus.

Et je n'ai rien.

Aujourd'hui, je sais que tous mes désirs,

même si elles ont fait rage dans l'égoïsme,

a eu une mort prématurée.



Et je suis coupable de leur mort,

je les ai dispersés en moi,

Je les ai arrosées de larmes,

Je les ai eu sur le front,

et tout ce que j'ai tués,

Spartacus, comme une femme.



Je suis un bourreau,

Mon propre bourreau ...