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■ L'hiver
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2012-04-11 | |
Comme un fleuve de lumière
coule la poésie à travers mon sang quand je Te glorifie, Dieu Je la laisse couler doucement dans mon coeur, peut-être sa chaleur m’aidera-t-elle à Te trouver plus vite Comme un éclair m’apparaît Ta figure majesteuse, étincelante pour me faire croire ensuite que j’ai rêvé Je sais que Tu veux me rappeler quelque chose d’autrefois quand mon coeur était plus près du Tien et sans mots je pouvais T’écouter J’étais toujours une joie, une source de lumière comme une étoile luisante sous Ton manteau trop grand, je répétais sans cesse Ta joie, Dieu, Mais, tout d’un coup, le brouillard s’est assis entre nous et je ne savais plus me réjouir divinement, je ne pouvais plus être Ton écho et maintenant ce n’est qu’au pied de Ton manteau terrestre que je trouve mon abri, mon regard ne voit pas plus loin de la ligne de l’horizon Je Te sentais en moi petit et faible et n’avais pas de temps pour me conseiller avec Toi, même si Tu étais d’une éternité plus haut que moi et je me perdais dans Ton sein divin J’étais sans cesse fascinée de Tes pieds terrestres - les montagnes et les vallées, le ciel et les eaux - et je m’en fichais si Tu étais derrière tout cela Je T’aimais comme on aime un cadeau reçu un jour de fête, comme on aime une légende, ou quelque chose de toléré, de chimérique qui ne me dérangeait pas trop dans mon jeu de la vie - c’était Ta volonté de faire toutes les choses, j’ aimais mon enfance tardive plus que ma mère, plus que mon père Il fallait que Tu restes - à l’encontre d’eux - dans une chambre beaucoup plus éloignée, beaucoup plus effacée pour ne pas troubler mon scintillement de petite étoile qui croyait que seulement toute seule on fait la noce Elle a tourné autour d'elle-même jusqu’ à ce qu’elle soit restée sans lumière Après m’avoir plongée dans la nuit profonde, je me suis réveillée du sommeil stellaire et j’ai laissé mon âme à Ton gré - pour enlever le voile de brouillard qui nous séparait depuis longtemps Mes yeux se sont ouverts cosmiquement - je reçois Ton embrassement éclairé comme si je naissais de nouveau et je m’étonne maintenant que je n’avais pas de temps pour Toi - je ne Te laissais pas croître en moi Mais, mon Dieu, suis-je, peut-être, encore enfant?... Parce que je ne peux pas comprendre comment Tu peux nous embrasser tous en même temps. traduction - autoarea
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