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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2011-02-25 | | Inscrit à la bibliotèque par Guy Rancourt J’ai fermé mon balcon car je ne veux pas entendre les pleurs, mais derrière les murs gris on n’entend rien d’autre que les pleurs. Il y a très peu d’anges qui chantent, il y a très peu de chiens qui aboient, mille violons tiennent dans la paume de ma main. Mais les pleurs sont un chien immense, mais les pleurs sont un ange immense, les pleurs sont un violon immense, les larmes bâillonnent le vent, et l’on n’entend rien d’autre que les pleurs. Traduction de Claude Couffon et de Bernard Sesé (Federico Garcia Lorca, Divan du Tamarit. Poésies III, 1926-1936)
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