Depuis ce matin, un nouveau site vient de naître :

http://www.sabinesicaud.com/

Ce site est le fruit d'un travail collectif et le résultat de plus de deux années de recherche. Nous avions déjà publié sur ce site (AGONIA) plus d'une soixante des poèmes de Sabine Sicaud. Ce sera notre contribution pour célébrer et perpétuer sa mémoire car dans un peu plus de quatre ans (le 23 février 2013, nous allons célébrer le centième anniversaire de sa naissance.
Bonne lecture !


J'annexe le message d'ACCUEIL :


Soyez les bienvenus sur ce site consacré à l'oe’œuvre et à la courte vie de la poète française Sabine Sicaud.

Sabine Sicaud ? Vous ne la connaissez pas ? Qui pourrait vous blâmer, puisque ses deux seuls recueils de poèmes sont depuis longtemps introuvables, que ce soit ici, au Québec, ou ailleurs, en France, en Belgique ou en Suisse.

Cette jeune prodige est un cas unique dans les annales des lettres françaises. Sabine Sicaud naquit à Villeneuve-sur-Lot dans une famille lettrée du Sud-Ouest de la France, le 23 février 1913. Elle présenta dès l'’enfance des dons littéraires rares. Entre autres prix littéraires, à l'âge de onze ans, Sabine fut lauréate du Jasmin d'Argent de 1924 pour son poème " Le petit cèpe " ; en 1925, " La rose bleue " remporta le premier prix aux Jeux Floraux Berruyers.

Ses "Poèmes d'enfant" (précédés d'une préface d'Anna de Noailles) furent publiés en 1926. Puis elle tomba grièvement malade et mourut à l'âge de 15 ans, le 12 juillet 1928. Il faudra attendre 30 ans pour pouvoir lire d'autres poèmes dans le recueil "Les poèmes de Sabine Sicaud" (avant-propos du Professeur François Millepierres, 1958).

L'’objectif de ce site est de vous offrir tous ses poèmes connus ainsi qu'une foule d'’informations (chronologie, photographies, témoignages, articles et conférences, etc.) sur Sabine Sicaud, afin que vous puissiez connaître et apprécier à sa juste valeur cette grande poète trop tôt disparue.

Je cède maintenant la place à Sabine Sicaud. Allez vous régaler ! Allez la lire ! Elle vous parle déjà :

"Va, je te reconnais, jeune cèpe des bois…
Au bord du chemin creux, c'’est bien toi que je vois…"

Je demeure humblement votre webmestre,
à la bonne heure et à la bonne humeur !

Guy Rancourt