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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2020-04-18 | | À vos masques, prêts, partez ! Le grand bal des masques, Le bal démasqué, Des masques et des hommes, Et pourquoi pas Le grand Bal masqué ? Nombreux sont les intitulés possibles, puisque les titres comme les mots, les masques comme le papier, se plissent et se plient à volonté, celle des corps et des idées, des plumes ou des champs d’énergie, pour faire et défaire dans l'espace-temps, comme des pliures abstraites et de fragiles pliages comme de grands poèmes d’origamots ou de magnifiques origamis colorés. Au-delà de nos multiples clichés, des apparences carnavalesques que prennent les événements, du masque d’infirmier au masque de théâtre, du faux nez aux vraies grimaces, le visage se fait toujours « Personne » (1). Derrière les masques esthétiques, les grimages artistiques et les faux profils sur Facebook ou sur Google, le profil comme le visage d’une personne, reflètent au mieux, en chaque individu, ce qu’il y a de plus particulier est même d’unique. « Ne m’embrasse pas, j’ai un masque ! » me disait encore ce matin mon épouse, en sortant de la salle de bains. En fait, le monde est bien compliqué, incompréhensible même, puisque l’on ne pouvait déjà plus s’embrasser avant que tous ne portent le masque. Comme sur les planches d’un théâtre antique, le masque, la persona comme on dit en latin, c’est en quelque sorte la personne, et la personne c’est d’une certaine manière le masque. Mais n’allons pas trop vite au risque de masquer davantage « la réalité de la réalité » comme dirait Paul Watzlawick (2), c’est-à-dire le Réel majuscule, Majusculé comme un Champion, tel un maître Suprême. En fait, Le Réel, le profil, le masque ou la persona, tout comme la personne et la personnalité, c’est bien plus compliqué que « ça » ! (3) Nous sommes en guéguerre, c’est la guerre des masques, le grand mal masqué, avec ses gros mots et ses morts, ses pestiférés et toutes ses victimes innocentes et ses responsables innocentés. C’est la guerre, la triste guerre, avec ses vicissitudes, ses sollicitudes et ses virucides ; c’est la guerre entre les vrais innocents dépossédés de tout et les faux innocents aux mains pleines, c’est le grand bal masqué où dansent ensemble et inexorablement, les vrais coupables, les boucs émissaires et toutes les autres victimes. C’est Le Bal des Rats morts, la danse macabre et autre figure de la grande faucheuse ; c’est la maladie qui ronge nos vies, l’économie et la société; c’est la mort du cygne et celle des signes; la grande discothèque des sorties stupides et inconscientes ; c’est l’enjeu des risques pris et des baisers insensés ; c’est l’innocence individuelle et collective ; c’est le Grand Bal masqué aux charniers des innocents ; c’est le théâtre de la rue ou la scène confinée des huis clos ; c’est partout la sarabande des marques solidaires et des masques solitaires ; ce sont les masques du déni ou bien ceux des défis ; c’est le bal musette au son des cors et des corps sans accord et sans anticorps; bal des masques sensibles et de la boîte fermée de ceux qui restent imperturbables ou indifférents. Vous le savez aussi bien que moi, et probablement mieux que personne, la personne, comme « pronom indéfini », c’est quelqu’un ou bien ce n’est personne, il faut savoir ! Personne, c’est comme un vide de présence comme une absence indéfinie ; c’est donc n’importe qui ou n’importe quoi ; un tas d’anonymes parmi d’autres inconnus ; un quelconque quiconque, ou un qui que ce soit le plus commun, du banal, du presque nu et du presque nul; comme aucun autre, rien qu’un mirage dans un désert aride, sans ombre et sans reflet. Il y a donc entre « Personne » et la « Personne » toute une zone d’incertitude, tout un monde comme qui dirait, une aire de « Je » entre les jeux et les enjeux sociaux, entre l’absence totale et la présence absolue. C’est la raison pour laquelle je mets un masque pour écrire, et une raison pour laquelle il est bien difficile de se comprendre et de s’entendre, avec ou sans masque. Mais là où il y a du masque, du nom, de la « persona » (1) il y a aussi de la valeur en espèce, de la grandeur en os et de l’être en chair, du vécu en âge et en potentiel ; oui, là où il y a du masque, il y a quelqu’une ou quelqu’un de réel ; des gens comme vous et moi, et pas des fantômes sans âme qui vive. Là où il y a de la persona, il y a de l’identité et de la vie en personne et en perspective ; il y a beaucoup plus que de la simple apparence, il y a aussi de la conscience d’être, de la conscience pure, nette et brute ; et donc, porter « le masque » exige du moi une présence comme un présent, et la présence réelle d’un sujet, sujet qui est aussi acteur de sa vie ; parce que malgré la forme, la couleur et l’épaisseur de nos masques, la persona sollicite « la personne », et réclame même une personnalité; comme au théâtre où l’acteur invite à l’échange, à une véritable relation en convoquant chaque spectateur dans ce qu’il a de plus particulier; ce qui demande de la vigilance, des droits et exige plus encore de nombreux devoirs. (…) Pourquoi donc, entre tous les substantifs, réservons-nous ce nom précieux de « personne » à ce sombre olibrius d’homo sapiens sapiens dit “homme”, faute d’identification plus précise ? Pourquoi ? Alors qu’aucun signalement de disparu, aucune photo sur Instagram ou sur Pinterest, nulle fiche signalétique ne parle d’Homme pleinement Homme, c’est-à-dire de personne pleinement Humaine ? Tout porte à croire que toutes les créatures dans l’Univers portent un masque fait de flou et de relativité, et que tous portent des masques élastiques, et qu’en conséquence, l’identification et le masque ne font qu’une seule chose extensible à volonté, ou expansible comme l’Univers, à l’infini ; et que tout est intimement lié par des élastiques invisibles comme des trous de ver. Dedans ou dehors, recto ou verso, tout se rejoint, tout est analogique, comme le signifié et le signifiant sont liés intimement par des mots ? Ce qui ne signifie rien puisque l’Homme grand H n’est qu’une virtualité, un Homme en suspens, un Homme confiné, une hypothèse ou une hypothétique créature, tel un trou dans le langage ou un trou de ver dans le vide quantique. En attendant de franchir la porte de l’Homme, j’irais jusqu’à dire que la personne serait en réalité, comme une sorte d’hybride d’une bête masquée et d’un masque d’Anonymous; comme un OMNI omniprésent, c’est-à-dire un Objet Marchant (depuis homo erectus), Non Identifié, et pareillement identifiable, en raison de quelque chaînon manquant ou plus probablement d’une chaîne faite de multiples chaînons manqués. Pour faire raccourci, je dirais que dessous, dessus, derrière et devant chaque masque, il existe ou il est, quelque objet hypothétique qui nous contemple, reliant dans l'espace-temps les deux faces distinctes du passé et du futur. Tel est l’OMNI omniscient, le Dieu masqué qui se joue de notre incompréhension comme le monde se joue sans arrêt de nos contradictions, de nos sombres explications et des multiples dualités qu’elles engendrent, entre les masques trop noirs et les masques trop blancs. Entre nos masques et nous, ou derrière nos masques et notre faux moi, celui qui nous cache notre vrai moi; entre la réalité physique et la réalité métaphysique, quelle âme substantielle de la personne ou consubstantielle du masque, se cache devant ou derrière le personnage ? Mystérieux masques, preuve d’une épreuve, comme des masques d’initiation. Nos savoirs ne sont-ils que de fausses clartés, et toutes nos connaissances que des semblants d’éblouissements ? L’homme pleinement Homme et l’homo sapiens ne souffrent-ils pas d’un dédoublement de masque, de personne ou de personnalité ? Ou comme Janus, portons-nous tous plusieurs masques enfilés les uns sur les autres, ou les uns dans les autres, comme des masques gigognes ? Sommes-nous la somme d’emboîtements successifs, au fil des générations passées, comme une armée en marche de poupées russes trop rusées ? Tout ce qui nous passe par la tête passe aussi par le masque; et puisque l’animal grégaire que nous sommes est un animal masqué par nature et imaginatif par culture, il existe évidemment une multitude de masques pour vivre en société. Il faut choisir, entre des masques plus classiques et d’autres, plus modernes ; et probablement même si nous ignorons en fin de compte, le type de masque que nous pouvons porter sur propres nos masques, le monde dans Le Monde quant à lui se porte au plus mal ! Étant donné que les visages et la persona sont des réalités physiques, tout masque participe de la réalité, mais nul ne peut se prévaloir d’être un pur esprit ou un pur visage, ou simplement une personne (persona). Compte tenu de nos diverses composantes, corporelles, sociales, culturelles et spirituelles, il est important de signaler que l’individu X n’est pas seulement un visage ou un masque, il est, en somme, une somme d’inconnues ; une équation abstraite, quasi métaphysique ; comme un mélange étonnant et souvent détonnant, de fonctions et de rôles sociaux, de profils culturels, de traits caractériels et moraux… C’est-à-dire, de toutes ces variables et caractéristiques caractérielles qui font un monde, et de lui comme de nous, des êtres des plus ambigus, comme un subtil mélange du Concombre masqué de Mandryka, et du masque divin de ces créateurs qui nous firent à leur image et à leur ressemblance. Comme ce dernier, « cucurbitacé bavard et philosophe » sommes-nous tous des cornichons confinés dans le vinaigre de nos bocaux ? Tous des cornichons plus ou moins pessimistes, évoluant sur le fil des jours comme funambule masqué, entre nos inlassables amis et nos ennemis de toujours ? Nous déambulons masqués dans un univers bien souvent des plus absurdes, ou dans des multivers fantaisistes, au cœur de folles mascarades et de grands bals masqués, où, au fil de l’histoire, nous sommes tout à la fois Zorro (le Renard masqué) jouant les justiciers entre la réalité et la fiction, combattant à coups d’épée comme un grand Z, sous la cape du bien et le sombrero de la morale, l'injustice, le mensonge social et les méfaits de La Horde; ou devenons ou incarnons le pire de l’homo sapiennité. Car « le masque », ou la persona, c’est tout cela en même temps, le pire et le meilleur, car « nous avons tous en nous quelque chose … » des victimes, des coupables et des superhéros ; nous avons tous en nous de l’ADN de Batgirl et de Batman ; nous avons tout en nous, un peu de la Femme Masquée pleine de superpouvoirs et de l'Homme Araignée. Nous avons tous sans exception, à revendre ou à raconter des tas de scénarios de héros masqué, et tout un monde intérieur de fantasmes et d’êtres fantasques au pays des êtres masqués ; changeant régulièrement de masque comme on retourne sa veste ; passant du sérieux le plus sournois à l’extravagance la plus masquée ; comme dans un grand méli-mélo quantique, où nous sommes tout à la fois les enfants du futur de Monsieur Choc, maître incontesté du crime et de Cendrillon ou de Blanche Neige reines de générosité ; comme si nous étions enfermés dans un moule, une matrice socioculturelle, où, face aux masques, aux marques et aux remarques des Rapetou économiques et politiques, on nous prend et on nous consomme trop souvent comme des canards laqués ou des pigeons masqués. Comme un lanceur d’alerte, je vous le dis tout Net Word, entre masque public et masque pudique, masque privé et masque cynique, agressif ou téméraire… Il nous faut trouver le nôtre, trouver notre juste marque autant que notre masque ad hoc, et ainsi faire notre juste place parmi les justes et les masques officieux et officiels, des plus académiques aux plus anticonformistes, des plus diplômés aux plus patentés, des moins approuvés aux plus conformes, entre le bal des mots et le bal des maux du monde; bal des mascaras ou des foulards, des niqabs et des masques intégraux parmi la grande procession administrative et procédurière des masques algorithmés et des microprocesseurs sous le contrôle d’État. Sur vos écrans panoramiques, en haute résolution, quelles sont ces files d’affamés de reconnaissance, de nourriture et d’amour qui avancent masquées ? Quel est ce défilé sans fin de masques qui se défilent derrière d’autres masques, plus procéduriers ou plus accommodants ? À travers vos propres difficultés et les trous noirs de nos propres masques, dévisageons ces visages peints ou éteints ; contemplons ce jeu de masques sinistres, ceux des conflits mondiaux, avec son lot de défunts et son cortège des masques mortuaires. Voyez de vos propres yeux ses colonnes de migrants masqués d’incertitudes, et écoutez tous ces discours en grande pompe funèbres ; de partout, le monde gronde et se masque, de Canne à Hollywood ; de la Silicon Valley jusqu’à la vallée des larmes aux mille pleureuses masquées. De partout, le monde se dresse comme bouclier de tissus et de papier, il montre ses armes aux dirigeants qui ne cessent de dresser masques contre masques pour diviser, et de construire des murs contre la vérité tout entière. En des lieux où la faim et la mort seule ne se masquent pas, comme sur une croix de bois de houx, entre toutes ces zones d’incertitude qui se cache derrière ces interminables et minables processions de masques de stars, d’icônes et d’idoles, c’est la réalité du monde ; là même où se mélangent allègrement les masques du laxisme et du totalitarisme, ceux des plus forts et ceux des plus faibles, en de grandes orgies masquées, de grands bals sans fin où laïc et religieux, beauté et laideur, bonté et médisance, bénédictions et malédictions, générosité et calomnie, sacré et profane, se battent comme de vulgaires galopins pour la survie de l’espèce, dans des duels (dualismes) vulgaires et sans solution ? À travers la multitude de nos personna, nous incarnons la multitude des rêves et des aspirations de l’humain ; à travers nos masques nous personnifions toutes les faces du monde et toutes les facettes d’une humanité qui se cherche, en quêtant le Graal dans le sirop collant de toutes ses pauvretés ; et nous tournons fous dans un grand bal musette ou chaque porteur de masque, porte en soi comme Sisyphe, la multitude des masques du soupçon, de la paranoïa, du narcissisme ou de la mégalomanie, pour n’en citer que quelques-uns. (…) Nous migrons comme des âmes vagabondes, sous des masques fantômes, faute de vraie Vie pleine de vrai Moi; nous survivons ainsi, entre ou dans le grand fessier du monde, dans le faisceau de ceux qui fascinent ou qui révulsent, de ceux qui parlent, fanfaronnent ou fatiguent. En définitive, ne sommes-nous pas que de pauvres Spiderman englués dans notre propre toile, celle que nous avons tissée de nos propres pensées mensongères, puisqu’en général, nous faisons nous-mêmes notre propre malheur, comme le souligne avec pertinence Paul Watzlawick (4). Agglutinés comme des mouches prisonnières de leurs ombres mortifères, celles de notre propre Network intérieur, de nos adhérences gélatineuses, au huis clos de nos réclusions, comme des êtres enfermés dans l’espace confiné de nos pensées douteuses, là où paradoxalement, le doute ne devrait pas avoir sa place. En somme, nous sommes pris au piège dans la substance gluante de nos idées fixes, comme retenu dans le mandrin des horloges du temps, par les mors de nos pensées épaisses et ceux de nos ignorances décorées d’idéologies poisseuses. Oui, derrière le masque se cachent des blessures de vie et des meurtrissures profondes, des maux d’où découle comme bave dégoulinante le jus de nos convictions les plus intimes comme les plus ultimes; car le héros masqué que nous sommes ne peut facilement changer, c’est pour lui une question de vie ou de mort, ou plutôt de survie et de devoir ! Dès nos origines, comme des animaux grégaires, conditionnés et programmés pour porter le masque, nous sommes au monde masqués, comme collés aux bonbons de miel de nos rêves les plus collants ou au fiel de nos masques de bouffons ; comme collés au monde des idées mondaines et communes par la viscosité de nos mots batailleurs et de nos compliments sirupeux. Telles des créatures toutes collantes de nos croyances erronées, et des clichés les plus poisseux de tous nos multiples préjugés. (…) Le masque et la persona touchent à ce qu’il y a de plus essentiel en nous tous, ils figurent la présence, la rencontre et l’échange, l’autre, l’être, la personne telle qu’elle est au-delà des apparences, des traits et des couleurs de fond ou de peau. Du fond des âges au front des clichés, du sourire jusqu’aux arcades qui sourcillent, la personne se donne ; c’est de la sorte que sur les fiches matricules de l’armée : cheveux, front, yeux, nez, forme du visage et signe particulier caractérisaient autrefois « la chair à canon », pour rehausser de gloire le masque des officiers et des puissants. Mais ici, envisageons les choses autrement, en dehors des fiches signalétiques, des champs de bataille et des masques mortuaires ; voyons les choses à visage découvert et dévisageons le masque, dans ce qu’il a de plus vrai, et le Réel majuscule derrière nos réalités les plus communes. Le masque, c’est la personne mise au monde, c’est en quoi « Facebook » ou la généralisation de la reconnaissance dite « faciale » parlent tellement à nos identités. La Persona, c’est l’image de la véritable identité des êtres et des choses, et en même temps, c’est l’ambiguïté, le paradoxe, le voile et le mystère, comme la face cachée de la Lune, comme le masque ou l’écran plat, qui ont l’un et l’autre cette ambiguïté signifiante et cette même ambivalence des mots, des images et des symboles. Notons au passage que le masque, c’est fort élastique, très élastique, comme nos vérités personnelles et nos réalités sociales le sont elles-mêmes; et il en est de même pour nos réalités culturelles, elles sont extensibles à volonté, en largeur, en longueur, en auteur et surtout, surtout, « en profondeur », sachant évidemment que seuls les masques de cire fondent à la lumière du soleil, et que « le déni » d’une intériorité profonde comme le pire des matérialisme, peuvent nous masquer le mystère des réalités du dedans ! (...) À vos masques, prêts, tirez ! Comme au théâtre, on tire le rideau, mais pas toujours dans le bon ou le même sens, celui de la vérité, de la réalité et de la face du monde ; nous avons tous des représentations différentes des choses et pas toujours complémentaires. Dans les coulisses, les arnaqueurs s’agitent et nos écrans plats ne sont que « ça » des écrans qui, comme les masques font obstacle, des écrans trop plats pour être infaillibles et incorruptibles, comme des mirages dans nos déserts où le miracle fait exception. Les décors sont beaux, les paysages en fond d’écran excellent, mais malgré tout, ils masquent ou voilent les vrais enjeux, ils déguisent la vérité sous des pots de peinture et des semblants virtuels ; ils obscurcissent l’avant-scène, aveuglent avec leurs projecteurs et se jouent des spectateurs comme l’illusionniste se fait magicien pour les plus crédules d’entre nous. (…) Plus ou moins translucides au cœur de toutes nos opacités, quels que soient nos masques, nos cuirasses de protections ou nos murs, qu’importe, il restera toujours une faille, « Et c’est par là que passe la lumière ». Comme le chantait si bien Léonard Cohen, Prince des Asturies des Lettres. Notes : (1) Le substantif « personne » nous vient du latin « persona », c’est-à-dire du nom des masques de théâtre ; d’où personnage, rôle ou caractère ; fonction, dignité ou personne juridique... (2) La réalité de la réalité. Confusion, désinformation, communication Paul Watzlawick. (3) Pour s’en référer au « das Es »allemand qui désigne l'une des trois instances de la seconde théorie de l'appareil psychique de S. Freud; théorie bâtie sur ce triptyque du ça, du surmoi et du moi, où le « ça » constitue notre côté pulsionnel, le pôle en grande partie inconscient de notre personnalité ; il serait l’origine ou la source même de nos énergies psychiques et vitales. Trois instances qui seraient présentes en chacun de nous et qui selon Freud, gouverneraient l’ensemble de nos comportements, tout à la fois conscients et inconscients. (4) Faites vous-même votre malheur Paul Watzlawick. |
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