Brûlent les flammes de mon emportement
Crisse ce feu de ma sanguignolente rébellion
Je ne puis comprendre cette perfide destruction
Au nom d’un Dieu, tuer des humains altruistes du temps
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Sincérité de la fraternité pour ces pauvres
Vous les femmes et les hommes de l’humanitaire
Votre nation est le monde sans aucune circulaire
Seul être otage de votre chartisme est peut-être le vôtre
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Comprendre la grande souffrance des peuples
Ce n’est pas accepter la violence démentielle
Les justes, les innocents doivent être sauvés de ce rituel
Que les bras meurtriers s’occupent à rendre la terre meuble
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Nous serons tous les filles et les fils de la mort
Aussi la patience doit nous garder au plus loin de la vie
Pour nous faire profiter dans la paix de ces beautés ravies
De nous voir vivre dans cette nature de l’indulgent port
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Si Dieu était, il aurait dit « aimez vous les uns les autres »
Mais aussi,« si on te gifle, tends l’autre joue » mais
Il n’a jamais dit de tuer, seul l’homme est tueur né
Guerres, assassinat, meurtres ne sont pas de Dieu mais des autres
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Il est impératif de combattre la tête de l’hydre démente
Lui couper le souffle qu’il répand sur ses corrompus serviteurs
Leur imposant la flamme de son endoctrinement pervers
Au sang perfide de la machiavélique punition des innocents
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Je ne souhaite à personne de quitter notre mirifique parterre
Si chacun veut s’en donner la peine les couchants seront beaux
Les levants nous garantiront une paisible et légitime vie de paix
Pour que chacun demain puisse dans la solidarité vivre sa terre
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