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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2007-03-19 | |
“Hélas ! J’ai vécu en vain”
Rodin hurle, frappé d’admiration et de respect quand il voit Apollon à l’Olympe pour la première fois. Dans sa poche, tout au fond, ses mains cherchent peut-être un de ces outils l’aurait-il négligé ? Un outil qu’il aurait manié sans assez d’affection. Le souffle court il s’élance vers l’atelier –chez Phidias- et partout il cherche, il réfléchit, il cherche un indice, quelque chose, de l’aide… Il fouille la terre de ses doigts angoissés Trouvera-t-il, peut-être, un outil des forges d’ Hephaïstos, dont il n’a pas conscience ? Se peut-il que l’Olympe cache un instrument divin ? qui trouble et exalte l’âme et, enfin, lui rendre sa liberté… Traduction : Valerie Terrasson
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