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■ Magnolia
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2011-07-19 | |
Tant de rivières coulent et ne reviennent plus
Pour voir du cœur du mont toute la sueur bue, En couvant à l’intérieur d’une secrète crise Comme lors du frémissement de la première grosse bise ; Il tombe tant de feuilles, le bois se dégarnit, La pluie le flagelle, le vent y souffle et crie, Que moi je plonge dans son œil comme automnal, Blessé et triste, solitaire, à soi égal. Tant de montres sonnent, mesurent le temps révolu Alors que là -dedans, j’entrevois l’inconnu De moi – suis-je un blasphème à la va-vite Et lorsqu’il fait nuit en moi, je t’invite. Tant de rivières meurent dans d’autres rivières, après... Toutes les feuilles tombent du ciel, de plus en plus près... Tant de montres sonnent à la tête de mon lit... Toi, lumière délicate, à moi t’unis.
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