agonia francais v3 |
Agonia.Net | Règles | Mission | Contact | Inscris-toi | ||||
Article Communautés Concours Essai Multimédia Personnelles Poèmes Presse Prose _QUOTE Scénario Spécial | ||||||
|
||||||
agonia Textes Recommandés
■ Voir son épouse pleurer
Romanian Spell-Checker Contact |
- - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2005-06-02 | |
Tu avais écris qu’un jour nous irions marcher au bord du sable
pour oublier l’existence des rues. Les maisons seraient pour toi de grands nuages bleus, perdus au fond des souvenirs. Tu avais les yeux ouverts au moment où la foudre détruisait sauvagement les toits luisants des maisons en brique. Tu avais écris que les arbres sentiraient la terre humide et que les sentiers descendraient un jour jusqu’à la paume de ta main. Tu avais écris que rien, ni les visages, ne pourraient ressembler au bourdonnement d’une tenaille. Tu avais écris beaucoup de choses, un jour, mais de ce jour-là nous n’ avons plus de souvenirs. *
|
||||||||
La maison de la litérature | |||||||||
La reproduction de tout text appartenant au portal sans notre permission est strictement interdite.
Copyright 1999-2003. Agonia.Net
E-mail | Politique de publication et confidetialité