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Le cardinal blanc
essai [ ]

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par [Seemis ]

2007-01-15  |     | 



Le cardinal blanc
par gheorghe Sârbu


Moto: En effet, l’originalité de l’univers consiste en son grand désordre, ordonnée par la nécessité.



La leçon
(en guise de préface)

Dans les 2000 ans dès Jésus, la terre a bénéficié dans les périodes critiques pour sa „Règle, ordre …”, qui est l’Esprit Dans le Demain, de gens à la mesure du temps de leur représentation. Un de ces Grands Hommes est le Pape Jean Paul II, chef de l’Eglise Romano-Catholique. D’où a-t-il pris le pouvoir de se tenir droit devant les vicisitudes de tout sort, du bistouri de ceux qui ne lui partageaient pas le point de vue, jusqu’au corolaire des souffrances physiques, que la vie lui a jonché dans le chemin? De la foi qu’il est désigné par Dieu pour tracer la ligne chronomogique des axiomes religieuses. Dieu est un. Et l’Homme est un, quelle que soit son orientation politique, sa philosophie, sa religion. Pour le Pape Jean Paul II il n’y a pas eu de sujet tabou ou du manque de disponibilité … Son grand amour pour les gens est le cadran de sa représentation : Son Esprit un des pendules, Son Moi Incantoire le second pendule. Entre le cadran de Sa représentation et Sa Vocation a su placer, comme personne d’autre, jusqu’au Lui, et après Lui, comme il est naturel – les hautes caractères créent le vide plein, mais aussi le vide vide – le collage propre à l’expression, qui part du cœur et arrive aux cœurs. Il s’est fait comprendre, parce qu’il a compris soi-même. Ainsi se montre que personne n’est pas surpris par la popularité que réjouit le Pape Jean Paul II, qui n’est pas « autre chose », ni un accident, mais la suite naturelle de son expérience, avec-et-dans la foi qu’il perçoit correctement sa Mission : dimension temporelle avec la réalité. Il s’est demandé bien sur si le chemin qu’il suit est celui qui plaise à Dieu, mais il n’a pensé pour aucun moment que ses forces vont le quitter avant d’arriver au bout. C’est ce moment-ci que le Pape Jean Paul II vit maintenant…. Il va arriver où «il n’y a pas de souffrance ni de soupire», quand ses connections avec les gens, d’indestructibles, deviennent éthérées. Pape Jean Paul II va rester dans la mémoire des siècles Un Cœur Aimant, immergé par un Esprit Aimant. Que la paix du cœur que vous nous avez donné dans tous ces ans vous accompagne pour l’éternité!
Amen.


L’Esprit

Nous sommes dans l’Ere du Verseau.
Dans le tableau de matières premières du monde, le mal gagne du terrain. Comment est-il possible, les gens se demandent, de plus en plus souvent… Il est certain que nous tenons tête, avec suffocante difficulté, à la pression qu’on exerce sur nous, roulant apparemment du néant, à la pression caméléonienne de toutes les tendances d’orientation négative. Après le terrorisme, que suit-il? Logiquement, il suit la fuite de réalité : la tête dans le sable… Ce que ne réalisent pas les déclencheurs de frustrés sortis dans la grande route, est que ceux ayant la tête dans le sable deviennent brusquement conscients du dicton «Connais toi-même» est similaire à «l’Arche de Noé» du 3e millenium. D’ici et jusqu’à L’Esprit il n’y a pas de frontières. Timidement, les gens commencent à penser sainement. Ensuite, ils commencent à trouver de solutions… Puis, à l’indice d’individu, nous nous établissons la résidence sous la calotte. Nous observons que l’attribut de l’Esprit est synonyme à l’attribut de l’encens. Le centre de gravité, sans aucun effort, tourne la clepsydre avec le nécessaire en haut, le mal entre en coma et, sans réaliser d’où lui vient la sortie de la scène, se va mourir. Personne ne pleure. Personne ne rie. Dès le transfert du centre de gravité sur l’Esprit, tout nous semble naturel à tous. Nous nous déroulons la perpétuation sans les limites des chimères. Nous élevons notre foi sur le socle des Valeurs. Nous regardons notre voisin de palier comme notre propre Moi.
Tu vois, dis-je à mon fils, Les Hautes Têtes ont raison quand ils disent que, dans l’Ere du Verseur, la terre devient la Maison de l’Esprit.


La Monacosie

L’Evolution des conflictes Homme – Homme, de l’apogée à laquelle ils tendent, entretenue arbitrairement par le réprouvable Orgueil Partidique, ne laisse place ni à une brèche à orientation positive. La première pensée qui te vient après l’évaluation est: la faute appartient à l’Etat de Droit ; plus précisément, à la zoochronie des hommes politiques, quelque soit le méridien de domicile en gardant l’équilibre entre le niveau de la vie, les aspirations et l’inertie obtuse de toutes les perspectives. Qu’est-ce que fait possible la différence entre l’accumulation du créative et la perte de consistance des calcules? Le fait que, la firme privée qui est l’Etat de Droit, de non-rentable dans un tel déroulement, devient encore plus non-rentable. La firme privée qui ne produit pas du profit entre en faillite, ainsi se va passer avec l’Etat de Droit aussi. Contre la nature, les contribuables commencent à réaliser devient l’aspect : l’Etat de Droit est servi par ses subalternes, mais quant au payement, ils sont payés par l’électorat. Dit sans équivoque, le cas frise l’absurde : les contribuables payent les politiciens, les contribuables payent pour leurs subalternes, et c’est aussi les contribuables qui payent les taux, les impôts et leur dérivés. A un certain moment donné, l’homme va se fatiguer de se faire mal tout le temps. Il va se réveiller du tâtonnement de millénaires, las de la Morgana des promesses électorales et il va substantiver: moi, je paye mes salariés; c’est ainsi que l’Etat de Droit doit procéder aussi. Ma responsabilité de fils vif de la cité est de consolider le cadre propice pour le déroulement des jours, dans des conditions optimales du développement de l’être; la responsabilité de l’Etat de Droit est de voir que la Loi qu’on m’applique soit juste. Entre moi, comme fils vif de la cité, et l’Etat de Droit comme gardien des lois, il faut exister la collaboration, la mise en rapport de perfectionnement du présent antithétique envers le passé et la préparation pour insémination des ogives fertiles, créées exprès pour le futur. Ainsi, il devient impérieusement nécessaire : soit que la firme privée, qui est l’Etat de Droit, devienne rentable, c’est-à-dire qu’elle obtienne du profit, ainsi qu’elle se place à l’égalité avec le fils vif de la cité gouvernée, soit qu’elle cède la posture de gouvernant à l’électorat, c’est-à-dire à ceux qui produisent toujours en proportion supérieure à la consommation. Il n’y a pas de voie de milieu. Dans le monde il existe le précédent, c’est vrai, timide encore, mais il existe : je nomme le Principat de Monaco. Fonction des capacités d’adaptation de l’Etat de Droit aux nouvelles conditions requises intrinsèquement par la nouvelle ordre, la Monacosie, dans laquelle l’Etat de Droit est synonyme avec l’Electorat, dans le même rythme,le rapport de percussion entre le bien vers encore meilleur va fonctionner sans syncopes. Les frontières vont disparaître, nous allons nous libérer du patriotisme régional, nous allons jeter à la fosse de l’oubli la nature des conjonctures. Mais, ce qui est encore plus important, nous allons réaliser que la seule arme dont nous avons besoin est la bonne entente, avec attribut caractériel.

La perspective, mais aussi le Leitmotiv

Nous avons le Donné – Mère Nature; nous avons la Grâce – Nous Pouvons Naître le Bien ; et nous avons aussi la Mission – l’Horizon Epidermo-Neuronique. De ces trois qualités célestes on bénéficie tous, l’Homme n’ayant sur eux aucun autre droit, excepté celui de les exemplifier par étalage palierique. Le pouvoir de l’exemple a un ascendant seulement dans le Modèle. Rien d’autre ne fonctionne pas dans l’accumulation de connaissance avec un plus durable accroissement en valeur, de/vers le Cadran Iuxin, où l’Altima est le Nord, la Néodine est le Sud, l’Est et l’Ouest tiennent de ¨Pimnia, c’est-à-dire de la période de disciple. Il ne faut qu’exclure la dépendance des facteurs du pragmatisme dénudé… Par pragmatisme dénudé j’entends l’existence du couple corps- âme, interprété et vécu seulement dans une des parts. Aucune effectuation de mutation ne se fait sans perte d’original. C’est similairement que se trouvent vers l’occasionnel les relations connexes à l’Entier. Le Multiple de l’Homme est l’Homme Même. Avec l’unité d’évaluation qui est l’Apogée, on peut vivre, si elle est abordée comme permanence, possesseur seulement de limite inférieure. Il n’y a rien dans « il y a », non-encadré dans les limites ; à l’exception de l’Esprit (…), de l’Esprit Cumule. C’est ce-ci le rapport de fonction entre moi et l’autre moi, le semblable. Pour ces considérations majeures, il ne faut pas faire du mal aux gens auprès de nous ; sinon, nous allons passer de vie en vie avec des défauts qui tendent nous remplaces, ce qui, dans un plus tôt, va nous déterminer à ne faire plus des concessions quand on prend en considération la détermination, ni du mal goût, ni de l’information précaire et ni de l’intérêt personnel ou bien de groupe ou de clique ou de bande. Dès le moment où nous réalisons que, dans la qualité que nous avons, d’êtres supérieurs, ils nous reviennent autant de responsabilités que les compartiments vifs que la planète a, métaboliquement, on va nous transférer la capacité de les interagir fonction des paramètres de l’horizon épidermo-neuronique, et ainsi l’évolution spirituelle nous va comporter. Depuis de deux millénaires, les Gens pèchent envers les Gens. Eh bien, Bons Gens! Eh bien, Mauvais Gens! ( ... ) le troisième millénaire ne nous réserve à nous, les Gens, qu’une seule alternative: nous sauver la Mission. Cette-ci est la perspective, et la seule ( ... ) mais aussi le Leitmotiv, et le seul ... le Donné, la Grâce et la Mission sont les voies plaisantes de notre définition. Et c’est ainsi ( … ) aucune trace d’autres chances …
L’Homme sans Colonne Vertébrale Spirituelle va s’exclure soi-même, et à cet égard « n’y aller que d’une fesse » reste l’expérimentation que j’ai été dans « il y a » absurdement.

Bibliographie :
J’apprends continûment des gens : j’apprends comment je ne dois pas me comporter.



Le nécessaire
Tu te réveilles faisant partie de la vie, aussi brusquement que bien préparé. Ce que tu sais de toi-même, à peine né, est le même que tu sais de la vie. Et tu montes sur l’échelle du monde ; il n’est pas plaisant de garder ses pieds dans l’eau agitée par les autres ; cela te tracasse sur les entrailles du goût. Et quel goût ! Etre un exemple pour les autres ( … ) comme si les autres ne pouvaient plus dormir de ce soin. Tu veux être un exemple. N’est-ce pas à cause du fait que le monde a été béni avec trop d’exemples, qu’on ne peut plus mesurer à son aune ? De la vie l’homme a appris à sortir. Quelle soit la cause du fait qu’il ne sait pas sortir aussi des exemples? L’état qu’il se complait dans le brouillement des idées? L’état qu’il ne se complait pas dans le brouillement des idées? L’état qu’il se complait à errer entre les deux états? Où considèrent-ils que les gens veulent arriver: ayant un pied dans le vulcain des impressions de moment, et l’autre pied sur les marécages mouvants du repos-avant, divisés par le contraire de l’intransigeant déclin? Laquelle des gènes de notre enveloppement nous ordonne l’envoi vers des destinations antagoniques? Où débute le début? Où débute la fin? Je suis venu directement dans la vie et je pars de la vie directement dans la mort. Comment justifier sur l’éphémère, à l’égard du papyrus des jours, lorsque je vis, que je vis iniquement? Les temps m’ont dicté la position à adopter, ou bien je me suis imposé aux temps? Quel plaisir interdit me pousse à commettre des infamies? La nature de la colonne vertébrale de la chose qui se trouve sous la main? La nature de la colonne vertébrale de la chose qui ne se trouve pas sous la main? L’Eve du sang qui me remplit les artères, les veines du cerveau avec des boulettes de désirs efflanqués ou l’Adam des embranchements de sens, qui donne des assauts sur l’armée des hormones avec l’étendard de la moelle des os dans la berne? D’où nous vient à nous, les gens, l’envie d’être différents de/ par accouplement? Et si nous sommes condamnés tout de même à mener notre vie ensemble, pourquoi faut-il le multiplier pareil? Avoir seulement du début et n’avoir par de la fin? Que notre chair soit attirée par l’équivoque, par l’abrupt, par l’inhérent? Que le passif soit notre devise, celle des gens condits selon les lois de la hache? Somnambules lorsque nous sommes dans la vie, clairvoyants lorsque nous sommes dans la mort? Qu’est que nous attire? Qu’est que nous repousse? Et qu’est ce qui ne nous donne pas la prise de nous même avec le pouvoir des connections entre ciel et terre? Ainsi que je me dis : l’homme moyen, à moi, le philosophe… Ainsi je me dis (…) mais, quant à la réponse, d’où l’obtenir, parce que le philosophe ne me montre pas qu’il soit préoccupé par le sens dont j’ai tant de faim. J’attends, j’attends, j’attends. Las de tant attendre, je tire le philosophe du pan de sa pensée que je veux partager. Sans aucun effort, le philosophe tourne le calme de ses yeux vers mon tourbillonnant regard et me dit : la réponse se trouve dans le vice de l’homme de ne pas s’emmener dans soi-même (…) et ajoute, après une autre période de réflexion (…) mais aussi dans la fuite de l’homme dans ne pas admettre le nécessaire (…) après lequel, avec du tact, il me tourne le dos (…) et n’oublie pas, me dit-il encore, même au moment quand il se préparait à disparaître devant mon étonnement (…) ce n’est pas seulement la vie qui se vit, ce n’est pas seulement la mort qui se vit, mais c’est aussi la philosophie qui se vit. Quand j’ai ouvert mes yeux, dans le ciel le soleil avait dépassé le midi. Je les ai clos pour un temps, mais, avant de mémoriser cet éventail de sens a-rhétoriques, qui s’est étendu tout seul sur la tempe de la feuille présente, chastement, je me suis endormi de nouveau. Reposé de corps et d’âme, je me suis levé du canapé dans le même pas avec la lune… Les volets de la pensée se sont ouverts au ralenti une fois, et la deuxième fois, à mesure au sens qui la pénétrait : voilà, donc, c’est celui-ci le nécessaire (…) moi, tu, lui, elle, le ciel, la terre, la bonne ordre, l’aigle, la fourni ….


Auprès de la fontaine

Etcéterologie…
Si on ne trouve pas de l’acte, la vérité y manque.
Oh, non, je ne suis pas abstract, parfois la chose est tellement dépouillée de simplicité, qu’elle surprend pas amplitude de sens.

Le radical de fonction qui est le monde, avec son indice l’homme, machiavélique aux besoins, partialité complète lorsqu’il devient riche, n’a pas beaucoup de résultats positifs pour se vanter à la prise de l’estafette vers le 3e millénaire, ce qui sollicite que, dans l’actualité immédiate, il décide entre les deux concepts: gagner de l’argent ou naître de la pensée ; où gagner de l’argent est une habitude, et non pas une mission, comme le fait de naître de la pensée. L’option que le radical de fonction, le monde, soit la désire, soit ne la veut pas, est l’instauration sur le socle de valeurs de la « réalité des choses» du 2e radical de fonction, naître de la pensée, avec son indice, concevoir des habitudes utiles au nécessaire. Gagner de l’argent, donc, ne disparaît pas, mais seulement passe d’au-dessous du radical dans la valence d’indice. On a un impérieux besoin du 2e radical de fonction, une fois pour la bipolarisation, la seconde fois pour l’élongation, évidemment, épistémologiquement, graphié avec orientation vers l’altima, où le rôle pivot de l’extrapolation est celui de pimnia. Toute autre orientation emmène échec. Aussi, ni la construction selon artifices nombrileux de calcul n’a pas de oasis. C’est aussi qu’il se passe avec l’expérimentation, quelle que soit sa nature. Je dis simplement : le monde, sans le radical de fonction de naître la pensée, avec son indice, de concevoir des habitudes utiles au nécessaire, n’a pas d’autre futur, et le futur dans lequel on se trouve ne montre pas des signes qu’il possède une autre ouverture dans l’accroissement. Il faut bien sur nous préoccuper du développement des spécifiques régionaux, mais seulement dans l’évolution pacifiste-caractériale de l’Entier, qui est la Grande Cité, la Terre.

La liberté n’a pas de frontières.
L’art n’a pas de frontières.
La science n’a pas de frontières.

Comme parallèle, l’homme aussi doit ne pas avoir de frontières.
La confiance vient comme une jeune mariée, et part après le partage.

Nous avons eu Jésus entre nous. Au lieu de le garder comme Modèle, nous l’avons monté sur la croix. Autrement dit, Jésus représente la première chance que le radical de fonction, le monde, a raté : rara-avis-iane. Si on rate aussi la chance du 2e radical de fonction, le monde va avancer avec la désinvolture propre à la jeunesse, sur le chemin sans retour : le pragmatisme aveugle.
La pensée place ses mains dans les pages de l’histoire, et non pas viceversa.

Le penseur doit être écouté donc ; il est le seul qui sait ce qu’il dit et dit ce qu’il sait ; et, du banc d’auprès la fontaine, je vous dis ainsi : car, pour arriver à la raison, ce n’est pas l’échelle dont on a besoin…


Le penseur

(Qui est l’individu qui reste éveillé, au-delà de la porte des jours? C’est le penseur … )

Des mauvais modes dans « il y a » : ceux-ci se passent avec nous perpétuellement, jusqu’à ce qu’ils passent au-delà de nous, après lequel ils se débarrassent des porteurs. A celui qui croit encore dans le mérite ne lui reste plus que l’évasion du quotidien, ne pas fait attention par la cité, même s’il se trouve au milieu de ses transformations. Contemporainement dit : on peut être un ermite le plus qu’on est au milieu des choses, la nourriture d’aujourd’hui, l’eau de demain du penseur. Mener sa vie dans une grotte est devenu, comme précepte, anachroniquement chronique, à laquelle font appel en formatage d’avantages les imitateurs.
Evitez à ceux qui, dans le 3e millénaire, vont pieds nus au midi dans la cité.
Le puissant n’est pas celui qui prend la vie de son semblable avec un coup de poing, mais celui qui, avec sa mission, sème sous la chemise de la vie l’envie de penser. Du point de vue comportemental cet autrement de ce qu’on sait, dit ouvertement que nous, les gens, recevons dans «il y a» deux catégories : a) gens qui notifient leur origine en vertu de l’occasionnel, et b) gens qui notifient leur origine en vertu de leur mission. C’est raire l’exemplaire humain qui prend à bail le terrain aride de la propagation de ventre du nécessaire. Cet exemplaire humain doit avoir la pensée féconde, l’oeil aigu, les mains habiles. Il faut aussi avoir ouverture vers la création de valeurs conformes. Après lequel, il faut apprendre à nommer le spermatozoïde cérébralo-pinéal, le seul à même de semer un ventre de nécessaire.
Etre dans « il y a » constitue un mérite dont il faut s’absoudre.
La haute pensée de demain ne doit pas monter sur sommet de la montagne aujourd’hui, pour se trouver libre du préjugé, mais il peut se rencontrer avec lui même dans toute la splendeur fraîche de la raison, même dans le cœur de la plus endiablée fête mondaine. La pensée de la distance vers l’élément maintenant de la vie n’est plus inscrit dans la came de « il y a » comme existence propre, et donc, il est utile que la chose qui va être soumise à l’élongalogie soit touchée avec les yeux du cerveau dans toute la plénitude du moment, sans qu’on perde de l’aire la grille imposée par l’accroissement, ce qui, arithmétiquement, va passer dans autant de cones d’ombre que des mauvais modes dans « il y a », et c’est le mérite qui va monter dans l’ouvrage, comme élément indispensable. Par des mauvais modes dans « il y a » j’entends tout ce qui s’oppose à l’idée de bien. Par mérite, j’entends tout ce qui refuse d’opposer un refus à l’idée de bien. Il doit être admis, car il ne peut pas y avoir d’évolution sans participation organique. J’appelle à la barre le passée, en exposant la conclusion : le philosophe, seulement en s’impliquant dans la solution des problèmes avec lesquels se confronte la cité, peut donner sa légitime mesure de manière pertinente. La sagesse est un trésor authentique, le penseur étant précisément cette ligne ascendant-continue, filament dont on peut bénéficier seulement si on le manque plus de considération. Lui, qui sait, part de trouver une solution plaisante à l’équilibre universel, de la petite chose, près de la compréhension de la ville, et ainsi incontestable ; le nécessaire signifie la vie ; or la vie n’est pas un outil à cogner ; contextuellement, « après moi le déluge», cela contrevient au plus élémentaire principe incorporé dans les facettes de » l’octogone qui est le multiple d’homme. Voilà pourquoi le philosophe ne doit pas être concessivement éloigné ; sa préoccupation est qu’il nous soit bien dans ce grand ouvrage qui est le monde, sans nécessiter qu’on construise la maison sur un indigo de compromis.
Il ne faut pas s’en préoccuper ; que vous nous restez différents, et de nous-mêmes vers nous-mêmes, non-homogènes.
Ne désespère pas, mémoire des jours, nous venons lentement, parce que nous venons dans «il y a » envoyés par la Grâce…


La Cité

Le pragmatisme dépouillé je l’ai clarifié ; similairement le pragmatisme aveugle. Maintenant clarifions le pragmatisme total. Pour que le pouvoir politique ne soit pas aisément en flagrant, ils doivent user avec beaucoup d’habileté les leviers prioritaires, qui sont: ceux juridiques, ceux médiatiques, ceux doctrinaires. Même ainsi, les choses ambiguës ne pourront pas être définitivement plongées dans le creuset des réprouvabilités, comme indéchiffrables, sans l’apport du pragmatisme total. Bien, bien, mais, dès la 3e catégorie en haut intervient l’abolition du contraire. C’est ainsi, et le pouvoir politique sait exactement que, dans « il y a » on ne peut pas obtenir représentation suppositionnelle, si on ne fait pas appel de temps en temps au pragmatisme total ; on part d’habitude du langage dual, dans les situations limite, même prolixe ; on continue avec le mouvement du centre de gravité de la chose connue sur la chose qui ne peut être encore certifiée, et se termine avec des promesses de tout sort, de manière apothéotique et avec des germes de mystère ; la méthode, rarement avec des déviations de la règle, est utilisée de plus de 2 mils ans, et à la surprise de toutes les déceptions accumulées héréditairement, à succès garanti, et plus que certain, si le réveil brusque de l’électorat n’intervient pas, conformément auquel les politiciens ne sont que des instruments dans la main des gens d’affaires véreuses, pourraient continuer à l’infini. On a donc à faire avec trois itinéraires : celui des dignitaires, celui des gens d’affaires véreuses ; dans le 2e itinéraire se trouve le cerveau manipulateur de toutes les existences honnêtes. Inéquitables pour le spectre entier, ces trois itinéraires, parce qu’au moins ils ne sont pas parallèles, mais aussi destructibles les itinéraires 1 et 2, parce qu’ils emmènent dans « il y a » l’abolition du contraire ; d’où les riches, d’où les pauvres (…) le seul capable à relier le destin de la cité avec la fertilité du ventre de nécessaire est le philosophe, dans l’acception moderne. Il n’est pas difficile à réaliser que l’Etat de Droit, dans la structure actuelle, est sur le corbillard; le 3e itinéraire, celui des existences honnêtes, même s’il le voulait, il ne peut pas satisfaire l’envie d’enrichissement des hauts fonctionnaires et la situation est encore plus tragique, puisque dans la sphère des taux, des impôts et de leurs dérivés, la somme de ceux qui produisent du profit se trouve dans l’impossibilité d’honorer les prétentions de plus en plus grandes des trop haut perchés idoles politiques. D’où, nécessairement, les itinéraires 1 et 2, comme de ses propres sources ne peuvent pas soutenir leur ascendance vont souffrir une double dépréciation : matérielle et d’image, à mobile de désagrégation dans leur précaire qualité et, quelques pléiades après, seront assimilés, autant naturellement que définitivement. Puis, une fois le 3e itinéraire s’avance dans le nouvel ordre Monacosie, la cité va se replier à obtenir du profit, à maintenir les lois peu nombreuses mais justes et aisément à appliquer et, surtout, à accepter comme opportunes, lesquels lois, à mesure que l’homme va réaliser qu’il est sûrement une folie de payer un autre pour te condamner, parce que toi-même tu n’est pas capable à te positionner socialement immaculé, seront passé à être gardés pour le cas exception. Du moment où l’Esprit va s’instaurer comme Libre Arbitre Décisionnel, la grande cité, la Terre, va devenir opérationnelle et va fonctionner comme l’Entier vers la Partie, où le radical de fonction naître de la pensée, avec son indice, concevoir des habitudes utiles au nécessaire, va gagner aussi l’attribut de cohabitation ermique ; l’erme est l’unité de mesure pour les valeurs sociales.
Quand l’argent entre en jeu, la Grâce s’égaye, le facteur entraînant entre le nécessaire et l’équitable étant dans « il y a » posté par le bon sens.




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