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Être ou avoir
essai [ ]
la condition du français

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
par [CFR ]

2010-02-16  |     | 



ÊTRE OU AVOIR, TELLE EST LA QUESTION

(Qu’est-ce qui se cache, linguistiquement parlant, derrière
les prétentions hégémoniques de l’anglais ?)




On se demandera, à juste titre, où est/se situe le verbe Faire… Cela va de soi qu’il se trouve au milieu, car il ne suffit pas d’être, il faut faire/agir, pour avoir… Mais procédons avec esprit de système, car les choses sont beaucoup plus compliquées qu’à première vue…
L’intérêt de cette étude tient dans l’importance que ces deux ou trois verbes ont pour les deux langues en présence : l’anglais et le français. Ce qui les sépare, c’est que le français est la langue de l’esprit, des lettres et des arts, alors que pour l’anglais, ce qui compte, c’est le verbe avoir… C’est le combat de l’esprit et de la matière !
Qu’il en soit ainsi, c’est que le français est la seule langue au monde où Jésus se retrouve, tire sa racine dans le verbe d’où il dérive : Je suis (celui qui je suis), a donné Jésus. L’italien dit Gesù, qui n’a rien à voir avec io sono, l’anglais dit Jesus, qui n’a rien à voir avec I am, le roumain dit Iisus, qui n’a rien à voir (ou trop peu, en surenchérissant sur io-s, formes dialectales ou régionales, relevant du roumain ancien et livresque) avec eu sunt.
Paris a été surnommée la Ville Lumière, c’est en France qu’ont apparu les Illuministes, que l’Illuminisme fit son apparition. C’est la France qui a décidé de délivrer les Américains de l’emprise suffocante de l’avoir, du verbe avoir et de tout ce qu’il suppose pour « aboutir », en leur faisant don de la Statue de la Liberté… La Statue (faite par les Français) est là, les Américains l’ont sur leur territoire…
L’anglais ne donnera jamais son accord en usant d’une phrase telle : Je suis d’accord, mais il dira : I agree… Il ne dit pas : Je pense que oui / Credo di si / Cred ca da, mais I’am afraid (yes)… Lorsqu’il lui arrive d’être/d’exister, il a peur… Et qui a dit le premier : Je pense/je doute, donc je suis ? Le français, à n’en point douter.
Le français dit : On ne peut pas être et avoir été – le verbe être est à l’honneur, n’est-ce pas ? alors que pour l’anglais, c’est : You can’t have your cake and eat it… Ne seraient-ils donc point existentialistes ? Où en sommes-nous ? donne en anglais : How far have we got ? Il y est pour quelque chose, donne : He’s got something to do with it. Vous y êtes ? a donné Have you got it ? Partout le verbe to have/avoir, remplace le verbe to be/être… Lorsque l’Anglais est enrhumé, il dit : I have got a cold. Pour Tu es fichu ! il préfère avoir/to have : You’ve had it ! J’y suis ! se dit en anglais : I have it !
Si un Anglais s’est cassé la jambe, il dira : I had my leg broken… Au lieu de dire : Je suis obligé de partir/je dois partir, il dira : I have to go… Être venu est en anglais : to have come… S’être blessé, donne : to have hurt oneself… Être à poil/nu se dit en anglais : to have nothing on… Je ne suis pas pris/occupé, en anglais donne : I haven’t anything on… Partout le verbe être est supplanté par le verbe avoir… Préjugé ? Parti pris ? Modus pensandi ? Ou modus vivendi… tout simplement ?! Pour renforcer nos suspicions, l’anglais dit the haves pour les riches…
Les Anglais/Américains sont tellement préoccupés de s’enrichir, d’AVOIR, que cela se reflète péniblement, au point de friser le ridicule, dans leur langue : ils sont hantés par le verbe avoir=to have, ils vivent pour s’enrichir, ils ne s’enrichissent pas pour vivre… Leur rêve, voire idéal est d’être riche, d’être plein aux as = to have plenty of money… Ils ne sont point intéressés par la vie, par le verbe être, tant qu’ils peuvent mourir riches… C’est la richesse qui compte, non pas la vie… Même le bien-être donne en anglais confort ou welfare…
Si l’Anglais ne peut pas avoir tout ce qu’il désire, il s’imagine avoir tout ce qui lui passe par la tête : il ne fait pas un rêve, he has a dream ; il ne fait pas une partie, he has a game ; il ne fait pas une chute, he has a fall ; il ne prend pas une leçon, he has a lesson ; il ne prend pas un bain, he has a bath ; il ne se lave pas – verbe d’action et pronominal en plus, he has a wash ; il ne se rase pas, he has a shave ; il ne fume pas une cigarette, he has a cigarette.
Le paradoxe va grandissant : le bruit court que, se dit en anglais rumour has it that ; comme dit Platon/comme Platon l’a écrit, donne en anglais : as Plato has it ; il me tenait par la gorge – quel verbe d’action, dites donc ! donne en anglais : he had me by the throat ; il ne passe pas une soirée agréable, he has a pleasant evening ; il nous est arrivé une aventure assez étrange, a un drôle d’équivalent en anglais : we had a rather strange adventure ; on pense généralement qu’il ne dit pas la vérité, se construit presque illogiquement en anglais : public opinion has it that he is not telling the truth ; elle prétend que Jean a une liaison, ne se retrouve presque plus telle quelle en anglais : she has it that John has been having an affair !
On dirait qu’ils ont tout à portée de la main, qu’il leur suffit d’appuyer sur un bouton pour que n’importe quelle action se réalise par l’intermédiaire du verbe have, qui exclut presque tout autre verbe d’action ! Commodité, manque d’imagination, pauvreté d’esprit ? Ou est-ce là une manière de penser spécifique d’un peuple qui se croit le Maître du monde, qui s’imagine avoir tout en son pouvoir ?! Ne serait-ce pas là une drôle de manière de manipuler les consciences, de (dé-)former les gens, surtout les jeunes gens, à penser dans des cadres très, très stricts, presque mathématiques, réduits à leur expression la plus simple ? Ils refusent même de faire un rêve, they have a dream ! Le soir, on ne souhaite plus à ses enfants : Fais de beaux rêves ! mais : Have a nice dream !
Une langue qui bannit les nuances, déteste les subtilités de la pensée et du langage, incompatibles avec les raffinements spécifiques d’une langue comme le français, par exemple – c’est bien la langue dont on ambitionne de faire la lingua franca ! Mais continuons à (psych-)analyser quelques emplois singuliers du verbe have à la place d’autres verbes, si divers en français : he had a tooth out : il s’est fait arracher une dent ; I had my watch stolen, pour : on m’a volé ma montre/je me suis fait voler ma montre ; I shall have everything ready, pour : je veillerai à ce que tout soit prêt ! Vous voyez ça d’ici ? Il ne fera rien de ses dix doigts, il n’entreprendra rien de rien, mais tout sera prêt, il AURA tout à portée de la main ! Peut-être usera-t-il d’une baguette magique ! Alors là, au point où ils en sont, qui sait… Peuvent-ils être possesseurs et possessifs à la fois, ce(-rtain)s locuteurs de l’anglais… Et présomptueux – c’est le moins qu’on puisse dire !
On n’accepte pas de faire le moindre mouvement, grâce à un verbe correspondant, ils refusent l’action, le verbe agir tant à la première personne, que de la part des autres. Dans le premier exemple, la confusion est telle, est l’ambiguïté sur mesure, que l’on pourrait croire qu’il s’est arraché lui-même cette dent, à l’aide de tenailles ; on serait enclin à l’accuser de mentir comme un arracheur de dents… Dans le deuxième exemple, au lieu de dire : Somebody stolen my watch, ou No more watch – stolen !, l’anglais (celui actuel du moins) préfère pivoter autour du verbe to have/avoir… Au point que nous pensons que les Anglais (les Américains plutôt) pourraient dire : Avoir ou ne pas avoir, telle est la question / To have or not to have, that is the question, Messieurs les Anglais ! Poor Hamlet, he turns in his grave ! Il doit retourner dans sa tombe, le pauvre Hamlet… A force de penser ainsi, Amérique sera écrit un jour : à mes ri(s)que(s) (et périls)…
Mais que dire d’une séquence comme : She won’t have him, laquelle veut dire, attention : Elle ne veut pas de lui… Même le choix, le tri, le discernement sont laissés à la merci du verbe avoir/have, au prix d’ambiguïtés regrettables. What would you have me do ? prétend signifier : Que voulez-vous que j’y fasse (avec une nuance de désespoir) ? De même : I’ll have you know that…, n’observe plus le temps verbal : le futur, et se veut l’équivalent de : Sachez que… C’est déjà un peu trop… De mal en pis : I will not have such contact signifie : Je ne supporterai pas une conduite pareille ! Alors que, à première vue, cela devrait signifier : Je n’aurai pas une telle conduite… Un zéro de conduite de notre part pour cette conduite langagière de l’anglais !… Ils ont tout, mais ils manquent/ils n’ont rien (de) ce qui leur est (vraiment) nécessaire… Et pourtant, il veut arriver dans un fauteuil, l’anglais, dans cette course contre la montre et le français – il trouve que le soleil ne luit plus pour cette langue…
Un dernier exemple suffira à mettre les points sur les i. Au risque de se répéter, d’avoir l’air fastidieux, voire donner sur les nerfs de ceux qui font l’apprentissage de cette langue, l’anglais cumule have sur have, comme dans l’exemple : We had to have the doctor in pour dire : Nous avons dû faire venir le médecin ! – quel meting pot concocté par toutes les populaces qui ont choisi de semer les diverses polices qui étaient sur leurs trousses en se perdant dans l’immense Amérique... Ceci paraît une langue inventée pour des individus ayant de graves problèmes d’alphabète et d’écriture, n’en déplaise à personne… Et le der des ders : He made them up (to his flat) for tea signifie, ni plus ni moins: Il les a invités à prendre le thé ! L’idée d’invitation, de politesse, d’acceptation polie de ladite invitation est disparue ! He, le tout-puissant, les a eus pour une tasse de café. C’est he qui compte et son bon vouloir, il a tout en son pouvoir, même celui de faire venir les gens au thé !!! On aura tout vu, on aura tout lu ! Et à quelle confusion cela prête…
Et d’un. Langue qui soupire n’a pas ce qu’elle désire, d’autant plus qu’un simple jeu de mots nous révèle que soupire peut s’écrire comme sous pire, donc encore pire que pire, si l’on peut dire… Et comme l’au-delà se trouve, dit-on, sous nous, sous nos pieds, sous notre réalité, alors on peut dire que cette langue agressive et violente (à force de vouloir éliminer les autres langues, elle l’est devenue, hélas !) a pris conscience de sa situation : elle se trouve dans le pire des cas, le moins enviable, car, à force d’être pour ainsi dire, parlée et écrite par n’importe qui, par quelques milliards d’habitants de la terre, chacun la parle et l’écrit à sa façon, ce qui fait de cette langue une pseudo langue, une langue sui generis, une drôle de langue à la fin. Melting pot est peu dire, reflète très peu la tragédie que vit et subit la langue de Shakespeare, de Shelley, de Byron, hélas… Puisque chacun y apporte, y met du sien, qu’il s’agisse des Roumains (très anglophiles ces derniers temps, car ils s’imaginent encore que ce sont les Etats-Unis qui feront leur bonheur, grâce probablement à leur langue, tout d’abord…).
Cette langue paradoxale de tous les points de vue : elle vient en 3e position en Europe, après l’allemand et le français, est constituée, en proportion de 55%, de mots venus par la filière française – ce sont les professeurs de français des Etats-Unis, réunis en Congrès, où, en ayant ras le bol de cette tendance de l’anglais d’éliminer le français, ils ont mis les points sur les i, en se constituant en une Association des Professeurs de Français des Etats-Unis ! Cette langue est minoritaire, par rapport à l’allemand et au français en Europe, sur le continent père donc, mais elle est majoritaire (et de loin !) à l’échelle de la planète ! Ceux qui la parlent, soit par obligation, soit par naïveté, soit par amour//et/ou admiration, se comptent à milliards… Est le français de guerre las ?! Hélas !
Peut-être oui, peut-être non… Le fait est que le nom de Jésus s’écrit Je suis, mais aussi : Je sus, id est « Je suis celui qui sus », soit : « J’étais au courant de tout, et pourtant j’ai acquiescé aux plans du Divin »… Et là, les choses changent du tac au tac, et le français devient la langue de ceux qui savent, des savants, des diplomates, de l’élégance, etc. Aussi fut-elle tacitement acceptée comme lingua franca, ce qui, dans le fond, était juste, car elle fut précédé par la langue des Francs, donc franca peut être un dérivé du franc, la langue parlée par les Francs… Et qu’en résulte-t-il, hélas, à première vue ? cela saute aux yeux que, de mémoire d’homme, il y eut d’un côté les savants, de l’autre, les ignorants… Pour radoucir un peu les angles et prévenir d’éventuels conflits (qu’on se rappelle que six des Apôtres tiennent un livre à la main – les savants, les six autres, non – les représentants des ignorants, peut-être, car il fallut de tout à Dieu pour faire ce monde, notre monde… Et les ignorants sont eux aussi les fils du Seigneur…), les savants inventèrent un dicton proverbial (sic !) : Sancta semplicitas : Heureux les pauvres d’esprit. Et la Paix fut, parce que, d’un côté – comme de l’autre, la Lumière fut…
Et, sans arrière-pensée – à propos de simplicité, se rappelle-t-on la conjugaison du verbe Have, à l’Indicatif présent ? La voilà : I have = j’ai ; you have = tu as ; he, she has = il, elle a ; we have = nous avons ; you have = vous avez ; they have = ils, elles ont. Excepté la troisième personne du singulier, on rencontre la même forme have pour toutes les personnes, tant au singulier qu’au pluriel, et la confusion créé avec l’infinitif have est embarrassante, remet – voire ! – en question la possession en elle-même… Du reste, et c’est le paradoxe de l’anglais, que les grammairiens eux-mêmes n’arrivent pas à s’expliquer, tous les verbes se conjuguent de la même façon dans cette langue ! En effet, quiconque peut apprendre (plus ou moins…) cette langue, alors que le français est de loin, et encore ! autrement compliqué et difficile ! Mais plus elle est facile à apprendre, plus on la massacre facilement, tous ces milliards de locuteurs qui parleraient cette langue, selon la propagande anglo-américaine ! Serait-elle née coiffée donc ?! Ou bien sa pénible simplicité aidera outre mesure à imbéciliser la population de la Planète – le rêve de certains (serre-tain…) maîtres (ou mètres ?!) de cet immonde monde !
Mais ces Anglais, qui s’imaginent avoir inventé le fil à couper le beurre, s’illusionnent que le mot Langue dérive de leur langue : l’Anglais contiendrait donc le mot langue dans sa composition : l’angue lai, langue laid(e), ce qui aboutirait, selon eux, à une langue poétique et musicale, selon nous, à son contraire, car messieurs les Anglais, s’il sont enclins à croire cela (et à boire de l’eau), devront accepter que la grammaire n’est pas leur point fort, mais celui du français (ce qui est Dieu vrai !). A écrire donc Langue laid, on s’aperçoit du désaccord entre le nom et l’adjectif, comme quoi il faut y procéder, et il en résulte, devinez quoi ? Eh bien, cela donne : Langue laide… Honni soit qui mal y pense ! Nous parlons avec le même plaisir les deux langues, mais nous abhorrons la prétention absurde de l’anglais de devenir la langue unique des habitants de la Planète ! Un point c’est tout ! Et pour trancher cette question une fois pour toutes, ce sont les Américains qui ambitionnent d’AVOIR le monde à leurs pieds (à genoux plutôt…), les langues avec !
Le français est donc la langue d’hommes qui sont, savent et qui font/agissent, qui ne visent pas – ou non pas seulement – à AVOIR, à rouler sur l’or, à retourner les dolluches à la pelle, à être plein aux as, à amasser les picaillons et à entasser du fric dans leurs poches… Et ce sont eux qui ont bâti la Tour Eiffel (et non pas les Américains), ce sont eux qui ont fait don aux Américains de la Statue de la Liberté (et non pas l’inverse), enfin, ce sont eux qui ont mis une fin, par l’héroïsme du Général Lafayette, aux guerres fratricides entre le Nord et le Sud… Mais pour les Maîtres du Monde, réfugiés ans Etats-Unis, les bienfaits s’inscrivent sur le sable, les méfaits sur l’airain… Pourquoi est-ce que le mot Maîtres rime avec Traîtres (à la Planète), voire avec Marâtres ?!
Ôte-toi de là que je m’y mette, c’est, en résumé, la prétention de l’anglais, telle que la formulent les gendarmes planétaires. Ce qui n’a rien d’un combat juste, à armes égales, c’est plutôt une concurrence déloyale, exercée par la force du dollar et des armes par cette Superpuissance, qui ignore que tout empire moderne ne dure pas plus de quelques dizaines d’années, et les Etats-Unis ont déjà largement dépassé cette période admise par l’Histoire actuelle. Rien ne vaut la cruauté et la stupidité de son ambition d’éliminer toutes les autres langues, specie le français (c’est sa bête noire de tous temps), car ce serait idiot de parler tous la même langue, d’écrire des poèmes en une seule langue (unique ou inique ?!), de rêver tous (façon de parler…) en anglais uniquement… Quel toupet noir doit-il avoir, ce Big Brother, de penser qu’un certain programme informatique pourrait décrypter les mouvements des lèvres, lorsque les micros des caméras ne parviendraient pas à capter la voix respective… Ils veulent tout AVOIR sous leur con-trôle…Toutes les langues s(-er-)ont mortes, vive l’anglais ! Comme si de rien n’était… !
Ils feraient mieux de voir que chez eux, l’espagnol est parlé par plus d’Américains que l’anglais… Cette langue leur donne du fil à retordre, et ils devraient y mettre de l’ordre, et seulement après se faire forts d’imposer leur langue aux peuples de la Terre ! A bon entendeur salut, messieurs les (locuteurs d’) Anglais ! Pourquoi ignorez-vous à ce point le fait que vous courez le risque de vous rendre coupables de génocide linguistique et culturel ? Eppur si muove… Et pourtant, le soleil luit pour tous et pour toutes (les langues) ! Je me fais un point d’honneur de rappeler à qui d’adroit que « Qui trop embrasse, mal étreint », voire « Tel est pris qui croyait prendre ». Mais il n’y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre (raison…) !
Une toute petite question : à quand the French-English, sur le modèle du franglais ? L’une adopte l’autre, mais l’autre la repousse et la bannit… Belle (+) infidèle

Constantin FROSIN !



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