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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2004-11-29 | | Cette manière un peu noire de travailler la même nuance, une suie fibreuse sur fond de bleu malaxé dans les pulsations de lumière rejoignant si l’on veut comparer au plus près, un morceau psychédélique de Jerry Garcia et les vibrations dans l’angle du parc des feuilles dispersées du livre, roman, dont j’ai oublié le nom… mais qui devait inclure le mot « domino » peut-être… Non, en fait il s’agit de « Ringolevio » d’Emmet Grogan… Toujours le même tableau en apparence répété, mais plus vraisemblablement la profondeur d’un écho rémanent incrusté dans la surface. Une traîne d’images sur le moniteur, quelque chose qui s’apparente aux premières séquences de Méliès, la dé-composition du mouvement. Je pensais aussi aux travaux de Charcot sur « les ardents ». Cette charge épileptique que recèlent certaines écritures. Ce que l’on peut resituer dans la musique « Techno » ce qu’elle évoque d’incantatoire et de fragmentaire, d’émulsion de l’image et de l’espace, de transes et de révulsions, lorsque l’esprit se retourne en lui-même, se brise et se disperse. Peut-être distorsion dans le kaléidoscope d’une seule réalité qui prendrait des formes multiples.
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