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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2004-08-01
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Au long des peupliers en vain
Je suis souvent passé, Me connaissaient tous les voisins - Mais tu m'as ignoré. Vers ta fenêtre qui brillait Je regardais épris Quand tout un monde comprenait- Tu ne m'as pas compris. Combien de fois, mon grand amour Réponse a attendu! Si tu m'avais donné un jour, Heureux m'aurais rendu. Si l'on avait été amis Dans notre tendre ardeur En écoutant ta bouche ainsi, Une heure et que je meure. Si tes yeux m'avaient donné Rien qu'un seul rayon, Une autre étoile aurait brillé Devant les horizons. Tu eusses vécu à jamais Au long des temps, des vies Avec tes bras prenant l'aspect Du marbre froid exquis. Image toujours adorée, N'ayant plus de pareilles Les fées qui viennent des contrées Où naissent les merveilles. Aux yeux païens je t'aimais tant, Aux yeux si lourds de peine Que me laissèrent les parents, Ma race très ancienne. Aujourd'hui je ne regrette Que moins souvent j'y passe, Qu'en vain se penche encor la tête Pour me revoir, hélas ! Car tu ressembles maintenant Aux autres dans ton port, Je te regarde indifférent De l'oeil glacé de mort. Mais tu devais t'abandonner A ce profond mystère, Et sous l'icône rallumer Bougie d'amour sur terre. * J'ai trouvé la traduction de ce poème sur le site Romanian Voice. Le nom du traducteur n'est pas mentioné. Dommage... Je me suis permis de l'introduire dans la bibliothèque d'Agonia pour la beauté du monde !
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