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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2007-04-15 | | Voyage Un voyage dans le vert de ta chambre que ta main enivre dans la plénitude de ton lit. je te bois comme un petit noir sur le quai d'une gare oubliée de Septembre, je te caresse, un jour de grisaille, perdu dans l'humidité‚ de tes jouissances, à la lueur des surbrillances, à la couleur des premiers labours, Sur le quai d'une gare oubliée , vide de rumeur, absent du soleil, dans la froideur des aciers, quand la ville se meut, à coups de klaxonnes, que beuglent les sirènes dans le gris des diesels, je te voudrais comme un épis du moi de mai, comme une graine au printemps, le long des chemins de halage, te cueillir à la couleur des premiers amours. Perdu dans l'humidité des tes jouissances, enivrée de l'écume bien mûre, dans l'ombre des cathédrales verdoyantes, je te prendrais comme la terre mange la graine. Je suis le pèlerin au port de ton corps le voyageur aux porte des gares le VRP de mes angoisses.
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