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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2006-09-24 | | Un jour, à l'insu du miroir J'ai jeté un coup d'œil Au fond de moi. Un regard en filigrane Qui glisse dans les frondaisons De la brisure, Déliant les ondulations frustrées Des pliures et les apories des fantasmes. Au fond, il n'y avait ni jours ni nuits, Mais un parchemin à demi plié Où des écritures millénaires se donnent A l'illisibilité demi-obscure de l'ennui. Des lettres fumerolles baignent dans une Lave nommée temps, Exhibant en diallèle, Entre corps et âme, L'embarcation des galériens. Des mégalithes fourchus se balancent, In medias res de leur cacographie, Dans le cadran de la mémoire. La pendaison regarde, incrédule, Ses pieds dans le vide, Les grimaces du verbe être Qui se dévide de ses litanies, De ses cris suffoqués, De ses révoltes. L'impure pendaison regarde A ses pieds le vide ébranler le sens Des mégalithes qui tiennent en haleine L'histoire de la fin.
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