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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2006-01-25 | |
A l'école des flammes
les femmes sont capricieuses, c’est bien vrai et le monde est un paradoxe géant elles veulent la franchise, mais quand on la leur sert sur un plateau, elle commence à avoir chaud et se serve de l'eau, et dans cette l'eau quand on y trempe une rose ça fait effet lustre et elle aimerait revenir à la réalité, puis elle passe au thé et s’il est trop chaud elles trouvent le serveur impoli, je les adore, je les vénère, ma mère d'abord elles par la suite mais le même respect pour celles qui restent dignes même quand plie l'échine, je vous envie, je vous chéris je suis pas toujours votre meilleur ami, amant ou parti ou ennemi mais j'ai appris avec vous et vous sans moi plus souvent que ce que je vous ai laissé, repris ou volé, sans vous mon existence est pâle comme le mal que mes déceptions lassent en vous le désir de vous abandonner éperdument, aveuglément à mes attentions de gentilhomme, voilà ce qui m'est resté de vous quand mon coeur se souvient qu'il vous rapelle et vous réclame c'est ainsi que je vous acclame, flammes.
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