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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2017-09-21 | |
Septembre et deux cœurs tendres
qui foulent le maquis avec des papillons dans la tête et des gentianes dans les mains... Ah c’était au temps de notre jeune vingtaine ! J’entends toujours le chant des vagues qui frappent les rochers de Bonifacio ou de Propriano. Mais est-ce bien le clapotis de l’océan ? Non mon cher Simon, c'est ta voix aux mil accents de "Ti amo !" et de "Sole mio !" qui cogne aux huis de mon coeur ! Corsica mon île adorée ! Corsica mon île de Beauté ! Corsica l’île de nos Amours ! Ô mon grand corsaire des mers agitées ! Ô grand capitaine de mon âme éprise ! Ô toi mon grand absent toujours si présent ! Ah si tu savais comme ton nom tambourine sous mon corsage ! Ah si tu savais comme ton visage est gravé sur toutes les plages ! Ah si tu savais comme tu me manques mon éternel fiancé ! Mon cher mari trop tôt envolé... allez donc savoir où ?
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