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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2016-03-02 | |
Épigraphe : Un objet ne fait jamais le même office que son nom ou que son image.
(René Magritte) (...) une falaise et une plage une rencontre péninsulaire avec ce jour-ci, hier et demain dans le jaune, un dé et un chien (...) le jour où Dorra reprit son sentier les sentiers se ramassèrent dans un petit moment le petit moment où le rêve ne fut qu’une aile sur l’échelle sans nom tu choisis le chant (...) Qu’est-ce que tu me demandais quand je rêvais encore? Où est le sentier qui mène au Paradis?... Et le murmure se perdit à l’instant même où je faisais les premiers pas sur la plage. Regarde le sable, il passe son temps en silence vers l’infini... (Ioan-Mircea Popovici) * Ces enfants nés en effleurant l’être si fragile au passage du temps à travers nos vies! On les élève sur la plage à l’âme, une plage, parfois brûlante, une plage, de temps en temps, aux sables mouvants, ou calme, après le passage et l’embrassade de la dernière vague... Dorra, elle-même, est une marche (l’enfant) de l’échelle sur la plage aux chiens et mouettes rieuses... les chiens chantent lorsqu'ils aboient, les mouettes rient lorsqu'elles volent... et Magritte m’assure: ceci n’est pas une pipe. Regardons encore! * (...) Dorra, pourquoi pleures-tu? Viens, je sais, tu veux que je te prenne dans mes bras. Ainsi, les marches de l’escalier ne te feront plus mal. Ou, peut-être, tu veux quelque chose à croquer, toi! Enfin, j’ai compris, tu veux aller sur la plage, regarder le lointain Levantin, en arôme poétique de sublime... Tu sais quel est le problème? Le matin, les corbeaux ont annoncé la grande tempête. La basse-cour s’est remplie de poules et d’oies. Dans les flaques d’eau du lac gelé, les cygnes cherchent pain et nid... Au premier coin de rue, un parapluie est apparu. J’ai allumé ma pipe et j’ai passé mon chemin... (Ioan Mircea Popovici)
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