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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2015-03-31 | |
Je n’ai aucune femme près de moi,
mais j’ai assez de sang dans lequel je la laisse couler librement comme un printemps, peut-être les nuits fleuriront avec les pétales en chanson, les matins seront enjolivés par la rosée stellaire, que les jours passent, filasses du hasard où j’ai plongé la nostalgie. Je siffle la lune, pas comme Nichita, mais comme ça, comme un polisson, dans le coin de l’étonnement; j’ai soif, mais je ne bois que la mémoire de l’eau j’ai faim des choses, mais j’enterre tout dans la cendre, les amours avec, emportés par le vent. D'une côte une grande peur aboie – j’ai oublié la nuit ouverte, et le jour n’a plus de place pour se lever, les guêpiers cherchent l’eau au plus haut des hauteurs me l’apporter dans leur bec, pour être chanceux en amour, et m’accomplir sur le bord du rêve. Seigneur, que de la mort, comme si tout ce que je n’ai pas réussi à serrer tout près dépasserait les limites où se débattent spleen et regrets! Et j’ai serré tout l’infini dans une embrassade de femme. *traduit du roumain Strâng tot cerul într-o îmbrăÈ›işare, de George Paşa
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