agonia francais v3 |
Agonia.Net | Règles | Mission | Contact | Inscris-toi | ||||
Article Communautés Concours Essai Multimédia Personnelles Poèmes Presse Prose _QUOTE Scénario Spécial | ||||||
|
||||||
agonia Textes Recommandés
■ Voir son épouse pleurer
Romanian Spell-Checker Contact |
- - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2014-01-15 | | Une pause entre deux voyages, un petit répit entre mil courses, un temps d’arrêt avec un livre à la main « Regards et Jeux dans l’espace » de Saint-Denys Garneau, assis là où le poète-artiste posait jadis son chevalet sur le pont de bois de la Décharge, bras d’eau entre le lac Saint-Joseph et la Jacques-Cartier, je me rassasie de ce décor magique et perdu dans mes pensées, je regarde ma montre, j’écoute le chant de la rivière et des oiseaux et entouré des arbres et des fleurs, je me sens si libre et si léger tout à coup loin des humains avec leur gravité et lourdeur quotidiennes ! Est-ce le grand silence et le doux murmure du ruisseau ou le fruit de mon imagination qui me jouent des tours ? Il me semble entendre la voix du poète qui me susurre à l’oreille : « Ô mes yeux ce matin grands comme des rivières Ô l'onde de mes yeux prêts à tout refléter Et cette fraîcheur sous mes paupières Extraordinaire Tout alentour des images que je vois Comme un ruisseau rafraîchit l'Île Et comme l'onde fluente entoure La baigneuse ensoleillée. »
|
||||||||
La maison de la litérature | |||||||||
La reproduction de tout text appartenant au portal sans notre permission est strictement interdite.
Copyright 1999-2003. Agonia.Net
E-mail | Politique de publication et confidetialité