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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2012-01-10 | |
Dès que j’essaie une autre pensée, ta présence est encore plus vive –
souvenirs accompagnés de la même brise, une fraîcheur au milieu du printemps – partout et sur tout, les aromates immaculés des saisons dansantes... Chaque jour neuf est une fête à part - un départ sans si ni peut-être au bras d’un retour répété... La dernière fois, j’ai reçu en cadeau le parfum du bonheur des larmes surgies de la saison à la fragrance la plus mystérieuse qu’elle soit, la saison des amours immortels – un royal – Diorissimo – le soir sur la colline remplie à vue des muguets, l’odeur tendre des champs, une poire mûre et, hélas, croquante, impression volatile, comme la brise du temps au-dessus de ce petit instant, le vert poudré de l'espérance du retour, la fraîcheur humide après une vive pluie d'été, la note subtile d'un animal sauvage jamais sorti de sa maison du bois... et ta voix qui me caresse: raconte-toi, me ressemble-t-il? Aujourd’hui, j’ai appris que Diorissimo-même est parti, il est parti... dorénavant il restera à jamais le premier violon de la solitude à deux, une corde sensible entre ton départ et un souvenir neuf... Le 9 janvier 2012
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