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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2010-02-25 | | Inscrit à la bibliotèque par Yigru Zeltil
Jamais, nul navire du retour en rade
- Soit des mers du Sud, soit du Capricorne - Ne fut si pure et si élégante frégate Tel Orion quand il revient en automne. Au-dessus des bois reverdis, jamais ne brillèrent les feux De sa blanche lumière. Et non plus sur les prés. En avril, les montagnes le voient qui s'en va silencieux Et le ciel, tout l'été, plus ne trouve son seul maître après. De nouveau, au-dessus des jardins, Octobre le fier Ses hauts mâts aux pointes de platine il arbore Et, ensuite, la nef de clartés, tout l'hiver, Au-dessus du monde ébloui se balance encore. Roi de toutes les étoiles du Septentrion, Glissant sans arrêt sur des mondes de glace, Ainsi parcourt le temps ce Grand Orion, Navire tanguant dans l'Éternité de l'espace. (traduction par Ileana Vulpescu)
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