|
agonia francais v3 |
Agonia.Net | Règles | Mission | Contact | Inscris-toi | ||||
|
|
| |||||
| Article Communautés Concours Essai Multimédia Personnelles Poèmes Presse Prose _QUOTE Scénario Spécial | ||||||
![]() |
|
|||||
agonia ![]()
■ Murmures
Romanian Spell-Checker Contact |
- - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2025-10-25 | |
"Je ne sais si c'étaient des femmes ou des anges"... Alfred de Musset a une très belle vision qu'il partage romantiquement avec le lecteur. "Leurs robes d'or", "leurs yeux de velours", "leur noire chevelure" sont les traits qui composent les portraits des sylphides, des nymphes, des dryades. Déesses des eaux ou des sylves... l'auteur glorifie leur beauté et s'exalte devant leurs pouvoirs surnaturels: "ils volaient!".
Les douze strophes et les rimes croisées créent un poème délicat, entièrement dédié à la beauté féminine. Le baiser scelle cette plongée dans la marée des songes,offrant une dimension romantique à cette vision décrite d'une manière plénière, riche en détails. Les fées s'en vont, rien ne subsiste dans la chambre magique. Le poète veut revoir les femmes divines, "mais rien ne reste plus que l'ombre froide et nue". Le poème est un hommage à la splendeur féminine et une invitation à un voyage au bout du réel.
|
||||||||
|
|
|
|
|
|
|
|
|||
| La maison de la litérature | |||||||||
La reproduction de tout text appartenant au portal sans notre permission est strictement interdite.
Copyright 1999-2003. Agonia.Net
E-mail | Politique de publication et confidetialité