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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2011-02-04 | |
Je passe, voyageur solitaire, parmi les étoiles et je vais
Chercher l’inconnu… Mes éphémères dieux sont seuls en moi, tu le savais, C’est mon voyage, coeur nu. Le soleil brille dans tes regards magiques, Rêve sans visage, Sur l’infinité de neiges des montagnes mystiques, Pendant que ces versets sont mon seul équipage. Belle pensée,dans mon oeil pluvieux, Qui m’apporte, le plaisir qui tue, toujours froide, D’une mantie de ce ciel poussiéreux Je t’ai fait une ballade, Perdue dans la pensée des nobles attitudes, Pour d’autres mondes, sans temps et fierté, Quand je serais seulement le mémoire de mes solitudes, En attendant, pour nous, une prochaine volupté. Je suis l’océan qui coule sans ma vie d’une seconde, Qui s’envole, parmi des continents comme un nuage ronde. Ton pays est dans mes rêves, Fragile comme une soiree d’été, Et avec le vent qui brise tu t'enlèves, Un etranger perdu vers l’étérnité; Peut-être nous sommes le même rêve sublime, Tu vis dans ma mémoire, pour y toujours durer, Mais ce qui nous sépare c’est l’ abîme De l’écart des chemins qu’on passe sans retourner.
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